ELWATAN-ALHABIB
lundi 31 mai 2010
 
Massacre israélien contre la flottille « Liberté pour Gaza »:19 martyrs au moins



31/05/2010 Un nouveau massacre israélien s’est ajouté au répertoire de l’entité sioniste, déjà bien lourd depuis l’usurpation de la Palestine.

Les victimes, cette fois-ci, ne sont autres que les activistes pacifistes de la flottille « Liberté pour Gaza » qui comptait six bateaux transportant une aide humanitaire pour la bande de Gaza, laquelle subit un blocus israélien et égyptien depuis plus de quatre années.

Durant la nuit de dimanche à lundi, les bateaux à bord desquels se trouvaient quelques 800 volontaires, originaires d'une quarantaine de pays ont fait l’objet d’une attaque terroriste israélienne, réalisée par une unité commando de la marine israélienne, escortée par des hélicoptères de combats.


Un paquebot turc, Mavi Marmara qui tansportait la majeure partie des activistes a été particulièrement visé.

Une ONG grecque engagée dans la flottille a également affirmé qu'un bateau grec de la flottille internationale, le Sfendoni, a essuyé des tirs à "balles réelles" dans la nuit à partir d'hélicoptères et de canots gonflables israéliens.
Selon ces Grecs, contactés à l'aube, "il y a eu une attaque à balles réelles contre le bateau grec Sfentoni et le bateau turc Mavi Marmara, (lancée) à partir d'hélicoptères et de canots gonflables" et "les bateaux ont été pris d'assaut".

L'attaque, selon ce communiqué, a eu lieu "dans les eaux internationales à 80 milles des côtes".


Quant à la télévision du Hamas AlAqsa, elle a diffusé des images de l'attaque, faisant état de soldats israéliens héliportés ayant descendus à bord des bateaux, et ouvrant le feu contre leurs passagers.


Un bilan encore provisoire fait état de plus de dix-neuf personnes tuées et de dizaines d’autres blessées. Quinze Turcs comptent parmi les martyrs.

Alors que les Israéliens ont revu à la baisse un premier bilan et ne parlent que de 9 tués.



Parmi les victimes blessées figure cheikh Raëd Salah, le célèbre dirigeant du Mouvement islamique dans les territoires palestiniens occupés en 1948. Il se trouvait à bord d'un des six bateaux du convoi, lorsqu’il a été grièvement atteint. Il se trouve actuellement dans un état critique, et ses jours pourraient être en danger. Les autorités de l'occupation israélienne demeurent très discrètes quant à sont état de santé.
Selon notre correspondant à Gaza, une troisième intifada pourrait éclater au cas où il décèdait.

le chef de la délégation libanaise au sein de la flottille D. Hani Sleïmane a également été blessé, selon la chaîne qatarie AlJazira.




A bord du convoi se trouvaient également l'écrivain suédois Hennin Mankel âgé de 62 ans, et dont les livres ont été vendus de par le monde à des millions d'exemplaires, ainsi que le prix Nobel de la paix 1976, le nord-irlandais Mairead Corrigan Maguire, en plus d'une ancienne victime de l'holocauste, 44 députés dont dix algériens, et des journalistes.


Avant l'attaque, des journalistes à bord d'un navire ont révélé que dans la nuit de dimanche à lundi, peu après 21H00 locales (18H00 GMT), trois patrouilleurs lance-missiles de classe Saar israéliens ont quitté le port septentrional de Haïfa pour intercepter la flottille.

Serkan Nergis, de la Fondation pour l'aide humanitaire (IHH), ONG basée à Istanbul a affirmé que les contacts avec le navire turc ont été coupés après la prise d'assaut.

Avant l'interruption de la communication, le correspondant d'al-Jazira à bord d'un des bateaux en route pour Gaza, a raconté que "des centaines de soldats israéliens, assistés par des avions militaires, ont attaqué la flottille, blessant le capitaine du bateau ».
"Je vous appelle en cachette, des centaines de soldats israéliens ouvrent le feu et lancent des bombes lacrymogènes, et les passagers du bateau à bord duquel je me trouve se comportent avec beaucoup de courage", a affirmé Abbas Nasser dans son dernier appel à la chaîne qatarie.

"Le capitaine de notre bateau est grièvement blessé, et il y a deux autres blessés parmi les passagers", a ajouté le journaliste, avant l'interruption brutale de la communication.



Côté israélien, la justification est de mise, avec une version préparée à la lettre : "durant la prise d'assaut du navire turc, des soldats israéliens ont été confrontés à de dures violences physiques", a indiqué un porte parole de l’armée israélienne. Et de prétendre : "certains des passagers ont utilisé des armes blanches et des armes de poing".

Ce qu’a catégoriquement démenti la députée arabe à la Knesset, Hahine Zoghbi. Faisant également partie des passagers de la flottille, elle a (selon des médias israéliens rapportés par Arabs 48) déclaré qu’elle s’était adressée en hébreu et par hauts parleurs au commando israélien, lui demandant de ne pas attaquer les navires, et lui assurant que les activistes ne sont pas armés.

 
dimanche 30 mai 2010
 

Tant que le Tiers monde

suivra aveuglément le

Conseil de sécurité de

l’Onu, alors……


Abdoulaye LO


Tant que le Tiers monde suivra aveuglément le Conseil  de sécurité  de l’Onu, alors……

L’ONU, mise sur pied au lendemain de la 2e Guerre mondiale est une organisation dont le but principal a été de préserver l’ordre Etats vainqueurs au détriment des perdants. Au fil du temps, elle s’est adaptée à la situation géopolitique pour devenir un instrument de domination du monde entre les mains de quelques pays, les cinq membres permanents.
Il est aberrant de faire de l’Assemblée générale de l’ONU qui regroupe tous les pays membres (192 Etats) un organe ravalé au rang de simple cirque, les 187 autres Etats étant 187 clowns pour amuser la galerie. Les décisions de cette Assemblée n’ont pas plus de valeur qu’un chiffon de papier tant que tous les membres permanents du Conseil de sécurité n’y ont pas adhéré.
Comment donner plus de poids à la décision d’un seul pays contre tout le reste de l’Humanité ? Injustice ne peut être plus flagrante. Depuis des décennies, la majorité des Etats de la planète dénonce l’état de fait octroyant le droit de veto à des pays qui se sont trouvés par hasard du côté des vainqueurs de 1939-1945. Les loups ont crié avec les mécontents pour mieux noyer le poisson et rien n’a changé et rien n’est sur le point de changer.

Israël fait ce qu’il veut et personne ne peut le sanctionner, ni même le condamner. Le veto américain est toujours là pour vouer à l’échec toute velléité de la communauté internationale. Les autres membres permanents n’ont pas le courage d’utiliser leur veto que pour se défendre eux-mêmes, mais pas au profit d’un autre pays, fut-il leur plus proche allié. Et les choses continuent de plus belle, les USA faisant la pluie et le beau temps. Les pays du Tiers monde quant à eux restent les dindons s de la farce. Les sanctions et les punitions pleuvent sur la tête de certains de ses membres dont le seul tort est de ne pas disposer du droit de veto ou un « grand » qui ose l’utiliser pour les protéger.
Il est grand temps de refuser que le monde continue d’être le jouet d’une petite poignée d’hommes. Pour ce faire, il faut refuser d’appliquer aveuglément les résolutions manifestement injustes du Conseil de sécurité.
Si malgré le succès diplomatique obtenu par le Brésil et la Turquie, le Conseil décide de sanctionner l’Iran tout simplement parce que c’est la volonté d’Israël et des Etats-Unis, il faut que tous les pays épris de paix et de justice refusent de les appliquer. C’est ainsi et ainsi seulement que les soi-disant grands de ce monde réfléchiront avant de décider quoi que ce soit.
Il ne sert à rien de critiquer l’attitude des USA et de se ranger par la suite derrière leur décision en appliquant aveuglément les sanctions que prendrait le Conseil de sécurité contre l’Iran. Car tant que le Tiers monde suivra comme un mouton de Panurge le Conseil de sécurité de l’ONU, alors il sera un simple pantin entre les mains expertes des membres permanents en général, des USA en particulier.

 
lundi 24 mai 2010
 

Bons d'alimentation pour un Américain sur huit!

Les riches font la guerre, les pauvres la payent, de leur sang mais pas seulement.
Ainsi les Etats Unis, engagés en Irak et en Afghanistan et dont une partie des élites trépigne à l’idée d’ouvrir un front iranien ne dérogent pas à cette règle.
On sait que les Etats Unis connaissent une crise économique de grande ampleur, causée par les abus de la spéculation et les frais inhérents à leurs actions militaires, mais l’article que je vous propose en donne une mesure concrète en abordant la question du nombre de personnes qui bénéficient d’un programme fédéral d’aide alimentaire. Les chiffres donnent le tournis : près de 40 millions d’habitants des Etats Unis bénéficient de ce programme, un Américain sur huit. Et encore, nous dit l’article, ces chiffres ne tiennent pas compte de nombreuses personnes éligibles qui ne reçoivent pas cette prestation.
Ces données sont d’autant plus intéressantes qu’on apprend par ailleurs que le président Obama vient de demander au Congrès un financement de 250 millions de dollars pour le système antimissile Iron Dome que développe l’entité sioniste (comprenez que l’entité sioniste a demandé à Obama de demander aux contribuables de son pays). Cette somme s’ajoute aux milliards déjà alloués à l’Etat voyou.
Pourtant, Alan Dershowitz, ce juriste qu’on nous présente comme Juif Américain, l’entité sioniste est une réussite sur tous les plans à la différence de ces pays comme l’Espagne ou la Grèce, hostiles un premier temps à l’admission de l’entité à l’OCDE, et qui sont en grave crise économique.
Ce qui n’empêche pas les gens comme M. Dershowitz de soutenir ces demandes de financement auprès de la vache à lait qu'est Washington.
Oui, parce qu’à Washington, à la différence de Madrid ou Athènes, tout va très bien. On y trouve toujours beaucoup d’argent pour Tel Aviv ; il suffit de demander poliment. C’est comme les bons alimentaires.


La distribution de bons alimentaires s'approche des 40 millions de personnes, un record

Reuters, 7 mai 2010 traduit de l'anglais par Djazaïri

Près de 40 millions d'Américains ont reçu des bons d'alimentation - un dernier record qui bat tous ceux atteints depuis décembre 2008 et lé récession aux Etats Unis, selon des données mises à jour par le gouvernement.

Les bons d'alimentation sont le principal programme fédéral de lutte contre la faim en aidant les pauvres à acheter de la nourriture. Les inscriptions sont plus nombreuses en période de difficultés économiques. Le gouvernement a indiqué vendredi que le taux de chômage était de 9,9 %.

Le ministère de l'agriculture a déclaré que 39, 68 millions de personnes, soit un Américain sur huit, étaient inscrits au programme de bons alimentaires en février, 260 000 de plus par rapport à février. Les chiffres ont été mis à jour mercredi.
"C'est la plus important par de la population américaine inscrite au programme SNAP/Bons alimentaires," a déclaré l'organisation contre la faim Food Research and Action Center, qui désigne les bons alimentaires par leur nouveau nom, Supplemental Nutrition Assistance Program (SNAP). "Les enquêtes suggèrent qu'une personne éligible sur trois ne bénéficie pas de la prestation."
Les inscriptions ont atteint des records au fil des mois, jusqu'à atteindre 31,78 millions de personnes en décembre 2008. Le ministère de l’agriculture estime que les inscriptions atteindront en moyenne 40.5 millions de personnes au terme de cette année fiscale qui s’achève le 30 septembre, pour un coût avoisinant 59 milliards de dollars. Pour l’année fiscale, on prévoit un nombre moyen d’inscription de 43,3 millions de personnes.
 
samedi 22 mai 2010
 

Est-ce que la guerre est

finie ??




Raja Chemayel


Vous connaissez une guerre sans armes  ??
Vous connaissez une guerre sans armes ??

Pourquoi devons-nous désarmer nos résistants ???
est-ce que l'ennemi a désarmé ??

Nos combattants de la liberté occupent-ils une terre étrangère
ou exilent-ils des gens ou construisent-ils des Murs d'apartheid ??

Pourquoi devons-nous désarmer alors que la guerre n'est pas encore finie ??

Est-il jamais arrivé dans l'histoire que ceux qui sont agressés
soient invités à désarmer en premier ….?

Où est ce que l'on nous demande peut-être simplement
de nous rendre ??

Le tiers du gouvernement libanais est toujours constitué
d'anciens collaborateurs avec Israël.
Le deuxième tiers est constitué de Fantoches de la famille royale saoudienne
Le troisième tiers est constitué de Libanais propres.

L'ambassade des USA paye toujours les salaires des différentes organisations de sécurité au sein de l'armée
et la police.

Pourquoi devons-nous désarmer ??
est-ce que la guerre est déjà finie ? ?

Rendez-nous notre Palestine ……
et après venez chercher toutes nos armes.
Même nos couteaux de cuisine !!!

Raja Chemayel
je porte un canif !!


http://arabefrustre.blogspot.com/ http://arabefrustre.blogspot.com/





 
 
[url=http://www.mesopinions.com/Pour-le-maintien-des-activites-de-l-association-petition-petitions-de92b0632d167e7b47ff4bbe88ef1e63.html][img]http://www.mesopinions.com/_images/petition-1.gif[/img][/url]
 
jeudi 20 mai 2010
 
Le Pentagone chargé de défendre la

politique US sur Internet




Dans la cadre de la « guerre irrégulière », la Chambre des représentants a ajouté un poste de 20 millions de dollars au collectif budgétaire de la Défense 2011 (2011 Defense Authorization Act) afin de contrer « l’extrémisme sur Internet ».

Cette dotation financera des recherches en sciences sociales, effectuées par le Pentagone, pour mieux comprendre le succès du discours critiquant la politique extérieure des Etats-Unis sur Internet et élaborer une contre-narration.

 
mardi 18 mai 2010
 

Si je voulais donner de quoi se réjouir à mon esprit chauvin, je crois que je choisirais la nationalité iranienne.

Voilà un pays qui se modernise, s’enrichit et évolue. Voilà un pays à l’histoire trimillénaire qui conserve sa fierté nationale contre vents et marées de propagande. Voilà un pays qui garde son sang-froid malgré la présence de plusieurs dizaines de milliers de soldats hostiles à son existence, louchant sur ses ressources énergétiques, à quelques encablures de ses frontières en Irak et en Afghanistan.

Je ne ferais pas dans la naïveté et l’angélisme, étant bien conscient que le pays n’est ni un modèle de démocratie ni un exemple pour les droits de l’homme. Par contre, force est de reconnaître que l’Iran est un pays qui avance et se forge un grand destin.

Regardez tout de même ! Dans le concert des nations, l’Iran vient de remporter trois grands succès diplomatiques.

Le premier, c’est cette alliance stratégique qui se dessine peu à peu avec la Turquie, la Syrie et la Russie.

Le deuxième, c’est d’avoir su faire plier le gouvernement français sur l’affaire Clotilde Reiss. Un échange de la jeune sous-traitante de la DGSE contre l’assassin de Chapour Baktiar qui a pris du temps pour que l’opinion publique française pense qu’il n’y a pas eu de contre-partie.

Le troisième, c’est l’accord conclu avec la Turquie et le Brésil pour l’échange d’uranium comme le souhaitaient les occidentaux. Sauf que l’accord se fait sans eux. De quoi les rendre sceptiques.

N’oublions pas que l’Iran a de bonnes raisons d’être méfiantes des occidentaux. Cela date depuis longtemps. La prise du pouvoir du shah d’Iran avec le soutien de British Petroleum, vous savez la société qui pollue le Golf du Mexique aujourd’hui. Autres griefs, la guerre contre l’Irak de Saddam Hussein soutenu par les puissances occidentales, les menaces explicites d’invasion ou de bombardements agitées par les Etats-Unis de Georges Bush et Israël.

On aurait pu penser que l’isolement diplomatique et commercial allait avoir raison de l’Iran et l’amener à plus de modestie. On peut même se demander si les chancelleries occidentales n’avaient pas misé un peu trop vite sur la chute d’Ahmadinejad lorsque, éclatèrent les troubles de Téhéran après les élections à la présidentielle et, la répression qui s’en suivit.

Et voilà qu’avec cet accord, la Chine et la Russie ne voient plus les sanctions d’un bon œil.

Israël se retrouve à gesticuler tout seul et les européens se retrouvent face à leurs nombreuses contradictions.

Vous en voulez quelques-unes ?

Quelle attitude prendre avec la Turquie ?

Rappelons que la Turquie est un pays très important de l’OTAN qui se porte caution de l’Iran désormais. Elle est un pays à cheval sur l’Asie et l’Europe qui se voit refuser l’entrée dans l’Union Européenne. Elle s’allie avec la Syrie, l’Iran et la Russie pour favoriser les échanges commerciaux et une coopération tout azimut.

Quelle attitude avec le pays qui bloque toute solution au Proche-Orient et encourage les occidentaux à soutenir une action militaire contre l’Iran : Israël ?

Quelle attitude avoir vis-à-vis du Brésil ?

Un pays ami de la France et de l’Europe mais aussi de Cuba et du Venezuela, avec lequel la France tente de signer des accords et des contrats d’armement très importants, et qui se porte garant de l’Iran.

Tout cela signifie bien que la diplomatie française n’a plus de dessein à long terme et reste insensible aux évolutions du monde. Elle gère le quotidien. Elle va d’échec en échec quand ce n’est pas d’affront en affront. Curieusement, elle s’est spécialisée dans la conclusion de contrats commerciaux aux juteuses commissions et dans la libération « d’otages » : Ingrid Bétancourt, les infirmières bulgares, les zozos de l’Arche de Zoé, Clotilde Reiss et quelques journalistes.

Les institutions de l’Europe deviennent un frein, la francophonie n’est plus un moteur de l’action diplomatique, l’Union Pour la Méditerranée est en panne deux ans à peine après sa création, l’OTAN que la France a réintégrée, s’enlise en Afghanistan. Les marchés financiers internationaux décident de la politique économique et sociale de la France. Un bilan absolument brillant!

Le monde a de nouveaux centres de gravité. L’un d’entre eux, peut-être le plus important, est l’Asie Centrale ne serait-ce qu'à cause des ressources énergétiques qui s'y trouvent : gaz naturel et pétrole. L’Iran a choisi de n’être ni une dictature qu’on achète comme l’Irak de Saddam, ni une démocratie molle et faible à l’occidentale, elle n’en a pas les moyens pour l’instant.

Il serait peut-être temps que l’occident en tienne compte au lieu de chercher à la déstabiliser depuis des décennies.

source:MiltonDassier

 
lundi 17 mai 2010
 

L’attentat contre une

mosquée et l'islamophobie

des sionistes

L’information est absente, voir complètement censurée par les sionistes d’occident, et pourtant un centre islamique de la Floride du nord a subit un attentat avec un explosif artisanale. Aucun journal français ni européen n’a rapporté cette nouvelle. Tout comme aucune presse occidentale n’avait véhiculé le meurtre de Marwa, une musulmane assassiné en Allemagne, a Dresde, par un juif sioniste en raison de son voile.

L’explosion a secoué la mosquée juste après la prière de Maghreb, heureusement, personne n’a été touchée lors de l’explosion. La bombe artisanale a causé un incendie en plus d’un trou béant dans un des murs. Des enquêtes du FBI sont en cours ainsi que l’étude des vidéos de surveillance du centre islamique.

Ces crimes de haine commencent à se faire nombreux dans tout l’occident et pourtant les medias, occupés par les sionistes khazars, n’en parlent pas justement pour étouffer les business de haine antimusulman, mais aussi pour laisser les crimes se poursuivre dans la plus grande permission.

En France, la mosquée d’Arrahma d’Istres a essuyé des tirs automatiques. Une boucherie hallal de Marseille, située dans le XVe arrondissement a aussi été la cible de tirs (plus de 23 impacts de balles). Des boutiques islamiques font l’objet de toutes sortes d’attaques : d’objets pour casser les vitrines, de crachat…

Ces actes criminels sont l’œuvre de la propagande antimusulmane construite justement pour figer les esprits et orienter toutes les haines contre cette communauté. Cela leur permet ainsi de faire oublier leurs escroqueries de l’état français. Lorsque 2012 arrivera, la France sera asséchée, les français se diront alors, pourquoi avions nous notre attention contre les musulmans ?

Il est évident que de nouvelles étapes ont été franchies grâce a la politique ségrégationniste des juifs sionistes de France et d’Europe. Les agressions par arme de guerre, en France sont une déclaration de guerre contre les musulmans. Ce sont des crimes fascistes, vous êtes donc en droit de répondre a la mesure en cas d’agression… c’est pour cela qu’il est important que tous les musulmans s’arrêtent un moment pour se préparer au pire.

Même dans votre sommeil eternel, les musulmans ne seront pas tranquilles. La preuve, les tombes des combattants musulmans contre le fascisme, le nazisme et le sionisme ont été détruites. Pire, aujourd’hui, les juifs sionistes ont décidé de passer aux meurtres de musulman, SAID BOURARACH, parce qu’il a fait son travail : assassiné puis jeté dans le canal de l’Ourcq. Cela ne vous rappelle t’il pas le meurtre raciste de Malik Ousekine.

Si cela continue, les musulmans devront s’organiser et créer des milices pour défendre leur vie, leur famille et leurs biens. la légitime défense est un droit constitutionnel.

Si une synagogue, un juif ou des tombes juives avaient été touchés, nous aurions entendu de belles et de mauvaises et ceci pendant des mois avec commémoration annuelle. C’est donc bien une islamophobie volontairement induite par les sionistes qui est a l’œuvre actuellement.
 
  Camera de surveillance du centre islamique de Jacksonville
 
samedi 15 mai 2010
 

Les Séries Américaines,

des Fictions Engagées


Fictions, très populaires et promues à outrance, imprégnées d’engagements politiques et de propagande… Etat des lieux…
"La propagande est à la démocratie ce que
la matraque est à la dictature.
"
Noam Chomsky

Au cours des années 1970, la diffusion des séries américaines en France se réduisait aux westerns, aux séries policières et à quelques comédies sans profondeur...
Jusqu’au début des années 2000, les séries américaines avaient la réputation d’être vulgaires, sans imagination et «politiquement correctes».

Grâce aux chaînes câblées, le spectateur attentif et dénué de préjugés avait pourtant pu constater que, loin de se réduire au seul «divertissement», les séries abordaient tous les genres et n’évitaient pas les sujets controversés... — Le Diplo

Aujourd’hui, on peut actuellement voir en France des œuvres imprégnées d’engagements politiques et de propagande. Souvent passées sous silence par notre "bonne vieille presse".
Ces séries véhiculent une vision du monde. Elles sont généralement conformes au consensus dominant. C'est pourquoi l’industrie hollywoodienne a été traditionnellement enrôlée par l’exécutif américain, y compris en temps de paix.

L’acteur et ex-président Ronald Reagan l'utilisa, par le biais des productions de la Cannon, pour appuyer sa politique. La CIA finança plusieurs longs métrages. Et, actuellement, depuis l'arrivée de King George II Bush, les œuvres de propagande se multiplient. Des séries Télé (The Agency, Alias, 24h) ont été financées par l’agence de renseignement. De son côté, le Pentagone a aussi produit ses séries télévisées (Le Jag, NCIS, E-Ring)...

De la propagande à haute dose déversée à jet continu dans notre boite magique colorée. On est loin d’innocentes séries destinées à faire passer le temps. Ici, il s’agit surtout de faire passer le message, le mensonge, la propagande destinée à formater l'esprit des jeunes générations à la pensée unique, celle du Dieu USA pour asseoir son hégémonie.

Hitler l'avait déjà compris, Il avait créé le ministère de la propagande. Aujourd'hui nous l'avons chez nous, à la maison sous forme d'écran plasma, cristaux liquides ou tube cathodique. Sarko et son Dieu les USA en sont un exemple type. Ils s'en servent pour déverser leur poison quotidien de propagande.

Gobbels, le ministre de la propagande d'Hitler, ne disait-il pas : "un mensonge répété plusieurs fois devient vérité"?.
 
vendredi 14 mai 2010
 

VACANCES MILITAIRES AUX FRAI

Vacances militaristes en israel, financées par la CAF



VACANCES MILITAIRES AUX FRAIS DE LA SECU : LE CANARD ENCHAINE EPINGLE LE BETAR 20 juin - Le Canard Enchaîné vient de porter à la connaissance de ses lecteurs les vacances militaristes en Israël organisés par le Bétar, et financées par les Allocations familiales, après que nous ayons dénoncé le scandale.

http://www.lexpress.fr/medias/187/israel-l-union-fait-la-force_64.jpg Le Bétar, rappelle-t-on, fait sa pub pour ses camps d’été en mettant l’accent sur la formation militaire des jeunes, en indiquant qu’il est lui-même une association « enregistrée au ministère chargé de la Jeunesse et des Sports », et que le paiement peut être fait avec les bons de vacances de la Caisse des Allocations Familiales (CAF).

Le reportage du Canard, intitulé « Les jolies colonies de vacances franco-israéliennes », ou comment « les sionistes ultras du Bétar voulaient entraîner des ados au tir avec l’argent des allocs », rend compte de la surprise qui a apparemment saisi les administrations concernées, à la révélation de la manœuvre du Bétar.

Un responsable des Allocs a ainsi expliqué au Canard que quelque chose ne tournait pas rond. Ces bons de vacances sont en effet distribués sous une triple condition : faiblesse des ressources de la famille, neutralité philosophique, politique et religieuse du projet –« ce qui n’est pas exactement le cas du séjour proposé par le Bétar », note le journal avec humour-, et, surtout, l’habilitation des séjours par le ministère de la Jeunesse et des Sports.

Or, le séjour n’a pas cette habilitation ministérielle. « L’accueil sur une base militaire n’est pas un projet pédagogique à nos yeux », a déclaré au journal un représentant du ministère.

Interrogé par le Canard, un certain David, au nom du Bétar, n’y voit que « calomnie ». Non sans arrogance, celui-ci affirme que si le scandale n’avait pas été dénoncé, « la CAF aurait payé sans histoire ».

Les journées de tir, proposées dans le dépliant ? « On faisait ça pour leur faire plaisir, les remercier. En France, à cause de la mentalité pro-palestinienne, ça passe mal », ajoute ce fin analyste.

Mais le comme dit e Canard, « entraîner des ados à l’usage des flingues dans un pays en guerre, c’était pourtant un beau cadeau ».

L’hebdomadaire pro-Sharon « Actualité Juive » appelle de son côté à la défense de ce pauvre Bétar, victime d’une « campagne de calomnie ». Confirmant les enquêtes en cours au niveau de la CAF et de l’administration, le journal s’inquiète quelque peu de la situation, et décrète qu’il est « urgent de se mobiliser ».


 
mardi 11 mai 2010
 

Iran: la stratégie de

l'Occident pour

renverser

le régime peut-elle

réussir ?





Iran: la stratégie de l'Occident pour renverser le régime peut-elle  réussir ?
I
La diplomatie mondiale est aujourd’hui largement dominée par les relations plus que tendues entre le cheval de Troie de l’Etat hébreu qu’est l’Occident d’une part, la République Islamique d’Iran d’autre part.
Sur toutes les tribunes régionales et mondiales, ceux qui se sont pompeusement autoproclamés « communauté internationale » alors qu’ils ne représentent même pas les 5 % des Etats de la Planète tentent de diaboliser le pays de Khomeiny.
Leur volonté de renverser tout régime iranien qui s’oppose à leur domination du pays ne date pas d’aujourd’hui. Pour ne pas remonter très
loin dans le temps, arrêtons- nous à l’époque contemporaine.

I - Bref rappel historique

En 1953, la loi sur la nationalisation des ressources pétrolières du pays fit passer l’Anglo-Iranian Oil Company (AIOC), plus tard BP, sous la propriété iranienne. Les services secrets britanniques et américains concoctent alors un plan exécuté par la CIA afin de rester les tireurs de ficelles du pays : c’est le fameux plan Ajax (1) Ils organisent d’abord le boycott du pétrole iranien par le marché que dominent largement les USA et leurs alliés. Cette attaque économique est combinée à une offensive politique.
En effet, les Occidentaux commencent par acheter un à un les parlementaires du Front National, qui a porté Mossadegh au pouvoir. Sentant venir la menace, le Premier Ministre organise le 03 Août 1953 un referendum pour dissoudre le parlement. Le peuple appuie à une écrasante majorité Mossadegh.

Cette éclatante victoire politique n’arrête pas l’ardeur des ennemis de l’Iran qui passent à l’offensive. Des manifestations et des émeutes fomentées et financées par les services secrets anglais et américains éclatent dans le pays.
Le 15 Août, Le Shah, convaincu du soutien des Américain et des Anglais décide, en toute illégalité de destituer Mossadegh pour le remplacer par le Général Zahedi. On connaît la suite : le renversement du gouvernement démocratiquement élu et l’instauration d’une sanglante dictature. Une longue période de terreur s’installa avec la redoutable police politique du Shah : la « Savak ».
Bien sûr le contrôle du pétrole revint aux Occidentaux qui fermèrent les yeux sur les malheurs du brave peuple iranien.
La reconnaissance en 2000 du rôle des USA dans la chute de Mossadegh par Madame Madeleine Albright Secrétaire d’Etat de l’Administration Clinton et les tardives excuses du Président Barack Obama le 04 Juin 2009 lors de son message adressé aux musulmans ne confirment que ce que tout le monde savait déjà.

II – Tentatives de renversement du régime iranien

Depuis la révolution islamique de 1979, l’Occident remue ciel et terre pour reprendre pied en Iran.
Les Etats-Unis et leurs alliés ont d’abord armé et poussé le régime de Bagdad à attaquer l’Iran dès le lendemain de la révolution, précisément le 22 Septembre 1980. Pour faire durer le conflit et affaiblir les deux belligérants au bénéfice d’Israël, les USA ont secrètement armé l’Iran lorsqu’il était en mauvaise posture (2).
L’Irak surarmé n’a pas réussi à renverser le régime iranien. Voulant pousser des ailes, Saddam Hussein a été piégé. On lui a fait comprendre que la conquête du Koweït serait sans conséquences et il a mordu à l’hameçon.

Reste maintenant à réserver le même sort à l’Iran.
Tous les actes posés par les USA et leurs alliés laissent croire que le scénario de la 2e guerre du Golfe est en train d’être repris contre l’Iran.
En prenant prétexte du nucléaire iranien, l’Occident, avec à sa tête non pas Obama mais le « Bush » français Nicolas Sarkozy, cherche par tous les moyens à rééditer le coup irakien.
Comme dans l’affaire irakienne, dans laquelle on a parlé de tentatives de fabrication d’armes nucléaires, de possession de redoutables armes chimiques et bactériologiques prêtes décimer les Occidentaux et leurs alliés, on cherche encore dans le cas iranien à faire peur pour atteindre des objectifs précis mais inavoués.
Comme dans le cas irakien, ici encore, on cherche à instrumentaliser l’ONU que l’on n’hésitera pas encore à jeter comme un mouchoir de papier une fois les objectifs atteints. Tout le monde se souvient que Bush et ses alliés ont utilisé les Nations-Unies pour imposer un blocus criminel qui a pratiquement mis l’Irak à genoux. Quand il a fallu passer à la deuxième phase du plan, les agresseurs ont fait fi de l’organisation. Ils l’ont même vilipendée pour son inefficacité. Aujourd’hui, la même démarche est encore adoptée contre l’Iran pour le même objectif : asphyxier le pays avant de passer à l’attaque militaire.
Comme dans le cas irakien, l’Occident mise sur des techniciens des organisations onusiennes, sur les chefs surtout. Ces spécialistes dont certains sont des agents de services secrets sont irremplaçables pour tromper les opinions publiques. Ce fut le cas Richard Butler de l’Unscom dans le cas irakien. L’actuel directeur général de l’AIEA, le japonais Yukiya Amano est en train de prendre la même direction dans le cas de L’Iran.
Les Etats-Unis et leurs alliés ont profité des missions d’inspection en Irak pour se livrer à du renseignement militaire.
Mêmes les palais présidentiels ont été visités avec arrogance, des inspecteurs se permettant de casser murs, carreaux et autres objets de valeur dans leur recherche d’éléments compromettants. L’Occident demandera la même chose contre l’Iran. Rien ne le satisfera et il demandera toujours des preuves supplémentaires.

A la veille et pendant les guerres du Golfe et de l’Afghanistan, une reprise en main du dossier palestinien a toujours été évoquée pour endormir les peuples arabes et musulmans. Tout le remue-ménage actuel sur ce dossier est à placer dans ce cadre.

Mais que faire concrètement pour renverser le régime iranien et vassaliser de nouveau le pays ? Tout ce qui a réussi ailleurs est essayé contre la patrie d’Ahmedinjad.
Le coup tordu des troubles intérieurs financés et appuyés de l’extérieur a été essayé mais n’a pas donné les résultats escomptés. L’activation de la 5e colonne au lendemain des élections présidentielles a lamentablement échoué. D’ailleurs, les fauteurs de troubles pro-occidentaux donc indirectement pro-sionistes ne font que profiter des cérémonies officielles pour faire du bruit que les media occidentaux se précipitent à amplifier à leur guise.
Un autre casse-tête pour les impérialistes est de trouver une armée prête à trahir sa nation et renverser le pouvoir démocratiquement élu. Alors qu’autrefois les services de renseignement des pays occidentaux recrutaient facilement des hommes liges parmi les officiers et sous-officiers de l’Iran, aujourd’hui, ils ont en face d’eux une armée aguerrie et incorruptible, sans compter les gardiens de la révolution qui portent bien leur nom.
La révolution iranienne et le régime qui en est issu seront défendus non pas seulement par ces hommes et femmes, mais aussi par tout le peuple. Mais pas seulement par les iraniens. Il ne fait pas l’ombre d’un doute que des millions d’étrangers éparpillés au quatre coins du monde sont également prêts au sacrifice suprême pour barrer la route aux agresseurs.
La plupart des pays arabes et musulmans sont déjà sous les pieds de l’Occident. Ils n’ont même plus le courage de protester devant les crimes d’Israël contre leurs frères de Palestine et du Liban. Au contraire, ils observent une neutralité bienveillante s’ils ne jouent pas leur partition dans le concert de l’impérialo-sionisme comme le fait si bien l’Egypte de Moubarack.
Et contrairement à l’Iran qui fait des progrès fulgurants dans tous les domaines pour renforcer sa souveraineté et améliorer son avenir, ces pays ne sont que les pions et les vaches à lait de l’Occident.
En misant aveuglément sur une chute du régime iranien par tous les moyens y compris militaires, Washington et ses alliés font encore fausse route. Ils n’ont manifestement pas tiré les leçons de leur échec en Irak et en Afghanistan. Ces deux pays exsangues et épuisés se sont révélés indigestes contrairement aux calculs des stratèges les plus chevronnés. Bush, dans un rêve fou a voulu occuper ces deux pays carrefour tout en encerclant l’Iran la prochaine cible. La récupération de ce pays qui occupe une position plus que stratégique complétera le remodelage de l’Asie. Ainsi, le contrôle des réserves mondiales d’hydrocarbure sera total et la Chine sera contenue dans son évolution menaçante pour la suprématie occidentale.



Le casse-tête iranien

Cela ne paraît pas évident.
L’Iran avec ses 1.648.195 km2, c’est plus que l’Irak (437.072 km2) et l’Afghanistan (652.000 km2) réunis. La population iranienne qui fait 74 millions d’habitants est sans commune mesure avec celle de l’Irak (30 millions d’habitants) et celle de l’Afghanistan (32 millions).
De là, il apparaît que le plus téméraire des généraux ne pensera jamais à envahir l’Iran. Quels sont alors les scénarios possibles? Il y en a deux :
bombarder le pays avec des armes conventionnelles ou le faire avec des armes nucléaires. Etudions ces deux hypothèses.
1) - Attaquer l’Iran par les airs.
Bombarder un pays aussi vaste, de surcroît montagneux et qui a les moyens d’abattre un nombre élevé d’appareils et de missiles sera inefficace.
Toutes les installations sensibles iraniennes sont hyper protégées. Les bombardements quotidiens de l’aviation anglaise et américaine qui avait fait de l’Irak de Saddam Hussein leur terrain d’entraînement et d’expérimentation d’armes nouvelles ont montré que ce mode opératoire est très loin d’être décisif, même contre un pays complètement à terre. Il a fallu la 2e guerre du Golfe avec une meurtrière intervention terrestre pour donner le coup de grâce au régime.
Saddam était honni par l’écrasante majorité de sa population et par les dirigeants des Etats voisins. L’Iran , par contre, a un régime démocratiquement élu et soutenu par la majorité de sa population quoiqu’en dise la propagande occidentale. La première bombe des USA ou d’un de leur allié sur l’Iran signera l’arrêt de mort de l’opposition intérieure pro occidentale. La population fera bloc autour de ses dirigeants qui seront encore plus forts. Et rien ne sera réglé. Au contraire.
Tout ce qui a été échafaudé en Irak et en Afghanistan s’effondrera comme un château de cartes. Les soldats de l’Otan et autres pays occidentaux encore stationnés en Irak, en Afghanistan et dans les autres pays de la région paieront le prix fort de cet aventurisme.
Reste alors l’alternative de la guerre non conventionnelle.

2) - Utiliser les armes nucléaires

Avec les Occidentaux et les Israéliens, aucune hypothèse n’est à écarter, mêmes les plus folles. Il faut se rappeler l’histoire de l’USS Liberty que l’administration Johnson a monté de toute pièce pour voir ce dont ils sont capables. Dans le but de trouver un prétexte pour entrer directement dans la guerre israélo-arabe de 1967, les Américains se sont entendu Israéliens. Ces derniers bombardent, comme convenu le navire américain pour que la responsabilité en soit imputée à l’Egypte. 34 marins américains furent tués et plus de 171 blessés lors de l’attaque menée par l’aviation et la marine de l’Etat sioniste. Les USA n’entreront pas en guerre pour des motifs que nous ignorons. L’affaire fut classée sans suite et tous les membres survivants de l’équipage du navire mutés dans des unités différentes. Nous faisons ce rappel pour montrer que les Occidentaux, pour trouver un casus belli leur permettant d’attaquer l’Iran avec des armes nucléaires miniaturisées ou non, sont capables de bombarder ou de faire bombarder leur propre population pour ensuite l’attribuer au pays des Mollah.
Ce scénario n’est pas à écarter.
Le 11 Décembre 2002, à la veille de la 2e guerre du golfe, la Maison Blanche n’a-t-elle pas rendu public un document par lequel le gouvernement américain dit se réserver «le droit de répondre avec une force écrasante, y compris par l’utilisation de toutes les options à sa disposition, à l’emploi d’armes de destruction massive contre les USA, leurs forces à l’étranger, leurs amis ou leurs alliés » ? L’allusion aux armes nucléaires ne fait aucun doute ici.
Mais employer ces armes pour la deuxième fois et être le seul pays au monde à les avoir utilisées est un grand risque dont les américains ne maîtrisent ni les tenants, ni les aboutissants.
Un deuxième usage de l’arme nucléaire, sous prétexte de simples menaces iraniennes jamais prouvées condamnerait à jamais les USA devant le tribunal de l’Histoire. Aucun ressortissant de l’Occident ne serait plus en sécurité nulle part dans le monde.
D’ailleurs ni la Russie, ni la Chine géographiquement proches de l’Iran ne permettrait à qui que ce soit de les exposer aux effets incalculables d’une quelconque explosion d’armes nucléaires.
Quelle possibilité reste-t-il ? Laisser l’Iran suivre paisiblement sa marche inexorable vers le progrès scientifique, technique, économique et social, synonyme d’une nouvelle ère dans l’ordre mondiale.
Le complexe militaro-industriel ne doit pas diriger le monde. C’est lui qui invente toujours un ennemi extérieur pour sauvegarder ses intérêts. Hier c’était le Bloc de l’Est, aujourd’hui c’est la Corée du Nord qui dispose pourtant d’armes nucléaires mais qui est jugée moins dangereuse que l’Iran qui n’en dispose pas et ne veut pas en disposer.
«Les armes nucléaires pour personne, l’énergie nucléaire pour tous ».
Ce slogan de l’Iran traduit la conviction de tous ceux qui aspirent à la paix et au progrès.

Abdoulaye LO
e.mail : abdoulayelo80@yahoo.fr


1 - Hélène Carrère d'Encausse, « Le conflit anglo-iranien, 1951-1954 »,
Revue française de science politique, Vol. 15, n°4, 1965, pp. 731-743.

2 - Julie Wolf, « The Iran-Contra affair [archive] », 2000, The American
Experience:, PBS
- Steve Avery, « Irangate: Iran-Contra affair, 1985-1992 », in
u-s-history.com
2005
 
lundi 10 mai 2010
  Burqa : Nabe atomise les hypocrites
 
vendredi 7 mai 2010
 
Sionisme, nihilisme et destin



Amar Djerrad

Les assassinats de leaders dans tous les conflits ne sont pas des faits exceptionnels. Ils sont souvent des actes qui traduisent l’impuissance ou l’échec de ceux qui en usent. Israël en a fait un moyen faisant partie intégrante du système de propagande noires du sionisme ; une manœuvre de combat pour sortir de l’enlisement. Incapable de faire la paix, il se retrouve inapte aussi à faire la guerre suite aux déboires qu’il subit, mais surtout à l’amélioration de la puissance de riposte des pays de la région et du rapport de force que bouleverse l’Iran.

Comment qualifier ce gouvernement qui menace d’une guerre, simultanément, les Palestiniens, les Libanais, les Syriens et les Iraniens ! Si ce n’est pas une impression de puissance simulée qui traduit, en fait, un échec ! Attend-il une guerre de concert avec l’Occident ou bien carrément “par procuration” ? Ce qui est bien reçu, par Israël, c’est que si le Liban et la Syrie ont prévenu de riposter en bombardant toutes les villes ainsi que les zones vitales c’est qu’ils le feront si Israël déclenche l'agression. Cependant, Israël mesure les conséquences internes et les répercussions régionales et internationales. Elle sait qu’elle perdra la majorité de sa population uniquement par exode sachant que plus de 500 000 Israéliens ont des passeports américains, selon l’avocat Franklin Lamb. Voici les propos de M. Avraham Burg (ex-président de la Knesset, ex-président de l’agence juive) (Le Monde du 10 juin 2007) “Avoir défini l’État d’Israël comme un État juif est la clef de sa perte. Un État juif, c’est explosif, c’est de la dynamite.” Il qualifie l’occupation de la Cisjordanie “d’Anschluss” et prédit “une explosion sans fin”. Il conclut : “La réalité israélienne n’est pas excitante, mais les gens ne veulent pas l’admettre. Nous sommes au pied du mur. Demandez à vos amis s’ils sont sûrs que leurs enfants vont vivre ici. Au maximum, 50% diront oui. Autrement dit, l’élite israélienne est déjà partie, et sans élite, il n’y a pas de nation.” Auparavant, les sionistes étaient tellement obnubilés par leur impression de puissance du fait des soutiens de leurs lobbies et de ceux qu’ils croient leurs fidèles, qu’ils s’estimaient “les maîtres” en se permettant tous les abus que condamnent la raison et les lois internationales. Aujourd’hui, faute de ne pouvoir s’engager dans une guerre franche, il semble ne leur rester que les assassinats de leaders qui résistent en usant même, effrontément, de passeports de pays “amis”. Un professeur (Michael Robin) à l’American Enterprise Institute propose carrément l’assassinat des leaders politiques et des commandants iraniens pour ‘changer de régime’ ; estimant que “cette stratégie est plus efficace et plus rapide que l’option miliaire”. Cette guerre souterraine ne peut cependant être déclenchée sans le soutien, de pays alliés d’Occident ou Arabes. Ils disposent, ainsi, d’atouts incomparables : de l’argent que fournissent les organisations sionistes, de passeports occidentaux où la collusion entre les élites dirigeantes et les sionistes est sans réserve, d'une impunité sur leur territoire lorsqu’ils commettent des coups tordus, mais aussi le coup de main de certains régimes arabe. L’Égypte en faisant condamner, récemment, des combattants, déclarés, libanais au même moment où elle causait la mort de 4 Palestiniens dans un tunnel dit “de survie” par asphyxie est la faute la plus abjecte envers des peuples dignes. Cependant, cette méthode sournoise et illégale de combat peut ouvrir légitimement la voie à un nouveau front dont le théâtre sera les pays où active le sionisme ; si des mesures sévères et coercitives ne sont pas prises.

Tapages médiatico-politiques

Tous les tapages médiatico-politiques actuels que les Américano-sionistes propagent suivant un jeu de rôle –0 à propos d’imminence d’une guerre, de fabrication d’armes nucléaires de l’Iran, de Scud livrés par la Syrie, de menace de frappe nucléaire – fait d’accusations, de rétractations, de menaces, de démentis ne sont que diversions et propagandes qui visent à cacher le caractère belliqueux, colonialiste d’une idéologie dans l’impasse d’une part et à mettre en gêne, par la pression, d’hypothétiques “actions” ou “préparatifs”, d’autre part. La perversion sioniste veut même atteindre le droit naturel et divin de se défendre. Le sionisme se découvre chaque jour devant un occident médusé de se voir dicter sa politique au point de lui inspirer des lois scélérates ; par exemple, considérer comme crime – par assimilation antisémitisme – le seul fait de critiquer Israël ou les personnes juives du sérail ! L’Occident découvre, aussi, que le sionisme n’a plus comme finalité “la création d’un ‘État juif’” – suite duquel il aurait dû être aboli – mais un objectif sournois visant la domination des gouvernements, en parasitant aussi leur culture par des références perverses (sexe, drogues et autres comportements déviants) sous le prétexte de démocratie et de liberté, et ce, pour bien être servi et bien se servir. C’est la raison pour laquelle toutes les solutions avancées pour mettre fin au conflit au Moyen-Orient, par lequel il existe, sont systématiquement sabordées. La paix signifierait la fin de l’alibi permettant l’existence de cette idéologie et donc la “fin de mission” de toutes les organisations sur lesquelles s’appuie le sionisme pour imposer son hégémonie. Marc Hillel écrivait dans son livre Israël en danger de paix : “Le plus mauvais service que pourraient rendre à Israël les États arabes serait de faire la paix avec lui” et de trancher “le danger arabe doit rester une profession de foi”. L’écrivain Yoram Bar Porath annonce dans Yediot Ahronot du 12 juillet 1972. “C’est le devoir des leaders israéliens d’expliquer à l’opinion publique, clairement et courageusement, un certain nombre de faits qui ont été oubliés avec le temps. Le premier de ces faits, c’est qu’il n’y a pas de sionisme, de colonisation ou d’État juif, sans l’éviction des Arabes et l’expropriation de leurs terres.” Avant, David Ben Gourion qui ne voyait pas d’autre issue que la guerre disait : “Si j’étais un leader arabe, je ne signerai jamais un accord avec Israël. C’est normal ; nous avons pris leur pays... Il y a eu l’antisémitisme, les nazis, Hitler, Auschwitz, mais était-ce leur faute ? Ils ne voient qu’une chose : nous sommes venus et nous avons volé leurs terres. Pourquoi devraient-ils accepter cela ?” (Nahum Goldman dans Le Paradoxe juif). Le sionisme est également dangereux pour les juifs d’abord. Ces derniers voient que le racisme et l’antisémitisme sont consubstantiels à cette idéologie. “Le sionisme a besoin de l’antisémitisme au point même de le susciter si nécessaire”, conclut l’Union juive française pour la paix allant dans le sens du “père” du sionisme lorsqu’il déclara : “Les antisémites deviendront nos amis les plus loyaux, les nations antisémites nos alliées.” Et à M. Ahmadinejad d’asséner : “Les sionistes, ne sont ni des juifs, ni des chrétiens, ni des musulmans, ni des athées. Ils ne pratiquent aucune religion, et la plus grande escroquerie qu’ils y aient réussi à commettre, c’est de faire croire qu’ils défendent les juifs.” En effet, en s’inspirant de l’histoire douloureuse des juifs, le sionisme est en train de donner prétexte en suscitant les mêmes mécanismes et les mêmes allégations fallacieuses qui ont légitimé, à l’Europe du Moyen-âge, les violences, les expulsions et les massacres de juifs ; “pour conjurer le sort” lorsque des catastrophes économiques, mais aussi naturelles les atteignaient. En ces temps-là, le juif était le “bouc émissaire” ; celui par lequel les “malheurs et péchés arrivent”. Paradoxalement, c’étaient les Arabes et les musulmans qui les accueillaient et les protégeaient ! Le monde est devant un “abcès purulent” qui s’étend en détruisant les éléments sains. C’est la raison pour laquelle cette idéologie nihiliste doit être combattue par tous les moyens pour la faire disparaître, comme toutes les idéologies totalitaires ; d’abord au Moyen-Orient où elle est l’alibi éternel, puis en Occident où elle devient envahissante, outrageante, attentatoire à la souveraineté et enfin prétexte aux racismes. Voici ce que disent des associations juives : “Notre soutien au peuple palestinien n’est pas seulement un acte de solidarité. Nous sauvons aussi notre peau au nom d’histoires et d’identités que le sionisme veut faire disparaître.” Et au chef d'orchestre Daniel Barenboim de critiquer durement Israël, lors de la remise du prix de la Fondation Wolf (Haaretz du 10 mai 2004). “Avec de la douleur au cœur, je pose la question, aujourd'hui, de savoir si une situation de conquête et de contrôle est compatible avec la Déclaration d'Indépendance d'Israël ?” Et de s’interroger : “Y a-t-il une logique dans l'indépendance d'un peuple, si c'est au prix des droits fondamentaux d'un autre peuple ?”... “L'État d'Israël peut-il se permettre de se bercer d'un rêve totalement irréaliste – l'ambition de trouver une résolution idéologique au conflit – au lieu de chercher à obtenir une solution pragmatique et humaine, fondée sur la justice sociale?” Avant de terminer, rappelons que l’Amérique a toujours été en partenariat stratégique avec Israël ; pour préserver ses intérêts. Toutes décisions stratégiques que prend Israël ne peuvent se faire sans un ordre, un accord formel ou tacite des décideurs des Américains. Dès lors, aucune solution équitable aux conflits du Moyen-Orient ne sera décidée si les intérêts américano-sionistes ne sont pas mis en jeu ou compromis par une liaison de cause à effet. Si tel est le risque, le pragmatisme américain saura retrouver rapidement la voie de la raison. La dernière sortie médiatique de Netanyahu sur une imminente reprise du processus de paix, suite à une rencontre avec George Mitchell, se comprend comme une plaisanterie dans la mesure où les conditions des antagonistes – arrêt/poursuite de la colonisation – sont antinomiques. Une fois pour toutes, le sionisme ne saurait s'accommoder d'une paix au Moyen-Orient !

Des citations éloquentes

Voici ce que répond Freud le 26 février 1930 à l’association lui demandant de signer la pétition condamnant les Arabes pour une émeute en 1929 (lettre cachée durant 70 ans):

“Je ne peux faire ce que vous souhaitez... Il est sûr que je sympathise avec ses buts… [le sionisme]. Mais, d’autre part, je ne pense pas que la Palestine ne pourra jamais devenir un État juif, ni que les mondes chrétien et islamique soient prêts à ce que leurs lieux saints soient sous contrôle juif. Il m’eut paru plus judicieux d’établir une patrie juive sur une terre moins chargée d’histoire… Je concède avec tristesse que le fanatisme infondé de notre peuple soit en partie à blâmer pour avoir éveillé la méfiance arabe. Je ne puis cultiver de sympathie pour une piété mal dirigée qui transforma un morceau du mur d’Hérode en relique nationale offensant, ce faisant, les sentiments des autochtones. Jugez vous-même maintenant si…je suis la personne qu’il faut pour conforter un peuple pris dans l’illusion d’une espérance injustifiée.”

Einstein qui fut un supporter du sionisme déclare :

“…La conscience que j'ai de la nature essentielle du judaïsme se heurte à l'idée d'un État juif doté de frontières, d'une armée, et d'un projet de pouvoir temporel.”

Le 25 novembre 1929, il écrit à Weismann :

“Si nous nous révélons incapables de parvenir à une cohabitation et à des accords honnêtes avec les Arabes, alors nous n'aurons strictement rien appris pendant nos deux mille années de souffrances et mériterons tout ce qui nous arrivera.”

“…Notre but est de frapper le Liban, la Transjordanie et la Syrie. Le point faible est le Liban, parce que le régime musulman est artificiel et facile pour nous de le déstabiliser. Nous devrons établir un état chrétien ici, et ensuite nous frapperons la Légion arabe, éliminerons la Transjordanie ; la Syrie tombera à son tour. Puis, nous bombarderons, avancerons et prendrons Port-Saïd, Alexandrie et le Sinaï.” Ben-Gourion, mai 1948 au général Staff.

“Je ne connais pas cette chose appelée règle internationale. Je jure que je brûlerais tout enfant palestinien qui sera né dans ce quartier. La femme palestinienne et son enfant sont plus dangereux que l'homme, parce que l'existence des enfants palestiniens signifie que des générations continueront, mais l'homme cause un danger plus limité.” Ariel Sharon 1956 au général Merham.

“Nous devons utiliser la terreur, l'assassinat, l'intimidation, la confiscation de terres, et la coupe de tous les services sociaux pour débarrasser la Galilée de sa population arabe.” Israël Koenig.

Amar Djerrad
4 mai 2010

Source: Le quotidien Liberté
 
mercredi 5 mai 2010
 

Regarder la barbarie juive sioniste a

l’œuvre,

Non content de bruler les lieux saints et les mosquées en Palestine, les juifs sionistes de la colonie de Yitzhar ont mis le feu a des dizaines d’olivier prés du village de Hawara, au sud de Naplouse.

Quelques dizaines de fanatiques extrémistes juifs ont attaqué les champs de cultures et brulé prés d’un hectare de terre sur lequel il y avait des dizaines d’arbres olivier ce mardi 4 mai 2010.
Les villageois ont tenté d’éteindre les feux, mais les mercenaires soldats de l’entité purulente ont tiré sur les villageois et protégeaient les criminels fanatiques juifs sionistes habillés en noir.
Le rituel est parfaitement rodé, car des dizaines d’hectare sont brulés chaque année sous la protection bienveillante des soldats. De plus, ces derniers empêchent les pompiers d’accéder aux zones brulées.

Le pire, c’est le comportement du régime sioniste qui reflète l’image de toutes les générations des juifs sionistes. En effet, les avions du régime juif sionistes idéologiquement endoctriné par le talmud racialiste, arrosent de pesticide les cultures palestiniennes pour bruler toute les récoltes.
Plus de 4000 hectares de blé, d’orge, de mais et autres denrées ont été brulées par des pesticides arrosés du haut de leurs avions. Je n’ai jamais vu un comportement aussi barbare que ces hyènes.

De plus, des milices de talmudistes des yeshivas sont formés a tirer sur les enfants palestiniens et a bruler, tel des commandos, des terres agricoles afin de les affamer ainsi de pousser les palestiniens a quitter leurs propriétés.
 
mardi 4 mai 2010
 



Tout ce que vous ne devriez pas savoir sur Érythrée (1/3)
Mohamed Hassan




La Corne de l’Afrique est une des régions les plus meurtries du continent : guerres incessantes, famine, pauvreté… Des images que tout le monde connaît. Mais peu de gens savent que l’Erythrée estime possible de sortir de ce cercle infernal, de résoudre les conflits par le dialogue et d’atteindre un important niveau de développement. On pourrait s’en réjouir. Pourtant, aux yeux de la communauté internationale, l’Erythrée est un Etat paria, mis au banc des accusés du Conseil de Sécurité de l’ONU ! En quoi ce pays, dont personne ne parle, menace-t-il les puissances occidentales ? Dans ce nouveau chapitre de notre série « Comprendre le monde musulman », Mohamed Hassan dévoile tout ce que nous ne devrions pas savoir sur l’Erythrée.
INTERVIEW: Grégoire Lalieu & Michel Collon

L’Erythrée serait-elle la source de toutes les violences dans la Corne de l’Afrique ? C’est ce que semble penser le Conseil de Sécurité des Nations Unies qui a récemment voté des sanctions contre ce pays. L’Erythrée est notamment accusée de fournir des armes aux rebelles somaliens.
Ces sanctions reposent sur une campagne mensongère visant à déstabiliser le gouvernement érythréen. Il y a un embargo sur la fourniture d’armes vers la Somalie depuis 1992, des experts internationaux sont présents sur place pour contrôler la situation et il existe aujourd’hui, pour toute arme, un numéro de série qui permet d’assurer sa traçabilité. Malgré toutes ces dispositions, même le secrétaire d’Etat adjoint aux Affaires africaines des Etats-Unis, Johnnie Carson, n’y croit pas. La vérité, explique-t-il, c’est que la Somalie est en guerre depuis vingt ans et regorge d’armes. N’importe qui peut en vendre ou en acheter sur le marché noir. Les rebelles somaliens n’ont donc pas besoin de l’Erythrée pour s’approvisionner.

L’Erythrée est également accusée d’entretenir des tensions avec Djibouti sur un différend frontalier. Il y a d’ailleurs eu un accrochage entre les deux armées en 2008.
L’Erythrée n’a jamais manifesté la moindre revendication territoriale sur Djibouti. Comme la plupart des frontières en Afrique, celle qui sépare les deux pays a été tracée par les puissances coloniales. Elle a donc été marquée il y a bien longtemps et n’a jamais été discutée.
Cet « incident » de 2008 est une pure fabrication de l’administration Bush. Tout a commencé au mois d’avril lorsque le président érythréen, Isaias Afwerki, a reçu un appel téléphonique de l’émir du Qatar. Ce dernier rapportait une plainte du président djiboutien, Ismail Omar Guelleh : l’Erythrée amasserait des troupes à la frontière. Or, le président Afwerki n’avait rien ordonné à son armée et a été très surpris par cet appel. Pourquoi son homologue djiboutien passait-il par une tierce partie ? Isaias Afwerki proposa tout de même de rencontrer Guelleh à Djibouti, en Erythrée ou même au Qatar s’il le souhaitait. Le président djiboutien ne répondit pas à l’invitation.
Quelques semaines plus tard, le 11 juin 2008, des soldats de l’armée de Djibouti attaquèrent des troupes érythréennes à la frontière. Un bref combat s’engagea causant une trentaine de morts et des dizaines de blessés de part et d’autre. Le président djiboutien clama aussitôt que l’Erythrée avait attaqué son pays. Avec une rapidité déconcertante, les Etats-Unis produisirent un communiqué condamnant l’ « agression militaire de l’Erythrée contre Djibouti ». Le Conseil de Sécurité des Nations Unies fit aussitôt écho à cette condamnation. Et ce n’est qu’ensuite qu’il proposa d’envoyer une commission d’experts pour analyser la situation sur place et établir les faits. Pourquoi le Conseil de Sécurité a-t-il mis la charrue avant les bœufs ? Sur quoi se basaient ses accusations ? Il n’y a pas de différend entre l’Erythrée et Djibouti. Les peuples de ces deux pays ont toujours été en bonnes relations. Mais une fois de plus, les Etats-Unis manipulent la communauté internationale et le Conseil de Sécurité pour faire pression sur l’Erythrée.

Comment expliquer l’attitude de Djibouti ?
Le président Ismail Omar Guelleh n’a pratiquement pas de base sociale. Il est seulement maintenu au pouvoir grâce au soutien de puissances étrangères. Par conséquent, il ne peut rien leur refuser. Cela explique notamment pourquoi il y a tant de soldats étrangers à Djibouti. Par exemple, les Etats-Unis n’ont qu’une base militaire en Afrique, et elle se trouve à Djibouti. Ce petit pays abrite également des contingents d’autres nations et la plus grande base française du continent.Ici, les Etats-Unis cherchent à faire passer l’Erythrée pour un pays belliqueux qui serait la cause de tous les problèmes dans la Corne de l’Afrique.

Pourquoi les Etats-Unis veulent-ils marginaliser l’Erythrée ?
Le gouvernement érythréen a une vision pour son propre pays et pour la région : il est possible d’atteindre un bon niveau de développement et de résoudre les conflits par le dialogue si on se débarrasse des interférences des puissances étrangères. Si vous regardez la crise en Somalie, l’Erythrée a toujours prôné de rassembler tous les acteurs politiques de ce pays autour d’une table pour dialoguer. Pour trouver une solution au conflit et reconstruire la Somalie, l’Erythrée propose également d’impliquer la société civile : femmes, vieillards, chefs religieux… Rassembler tout le monde au delà des clivages pour rebâtir un pays qui n’a plus de gouvernement depuis vingt ans. Cette méthode serait certainement efficace pour ramener la paix dans le pays. Mais, de leur côté, les Etats-Unis ont volontairement maintenu la Somalie dans le chaos. En 2007, ils ont même ordonné à l’armée éthiopienne d’attaquer Mogadiscio alors que la paix était revenue. Et au bout du compte, c’est l’Erythrée qui est sanctionnée par l’ONU !
En fait, les Etats-Unis craignent que la vision érythréenne ne fasse des adeptes dans la Corne de l’Afrique. Cela signifierait la fin de l’ingérence américaine dans cette région stratégique. Washington cherche donc à mettre l’Erythrée en quarantaine pour éviter que le « virus » se propage. C’est technique que les Etats-Unis ont toujours appliquée et que Noam Chomsky a étudiée. Il parle de « théorie de la pomme pourrie » : si une pomme pourrit dans un panier, il faut vite la retirer avant que les autres pommes pourrissent à leur tour. C’est les Etats-Unis ont toujours cherché à renverser des gouvernements (avec ou sans succès) : Castro à Cuba, Allende au Chili, le Laos dans années 60… Chomsky remarque que intervient alors sous prétexte d’assurer la « stabilité » du monde. Mais cette « stabilité », nous explique-t-il, signifie « sécurité » pour les multinationales et les classes dirigeantes.

Pour Washington, l’Erythrée est donc la pomme pourrie de la Corne de l’Afrique ?
Tout à fait. Mais le véritable ennemi de la région, c’est l’impérialisme. Particulièrement l’impérialisme US. L’Erythrée souhaite donc que les pays de la Corne de l’Afrique se débarrassent des ingérences des puissances néocoloniales et développent un projet commun. La Corne de l’Afrique jouit d’une position géographique très avantageuse : elle est à la fois connectée aux pays du Golfe et à l’Océan Indien où s’effectue la majeure partie du commerce maritime mondial. Elle dispose également de nombreuses ressources : minerais, gaz, pétrole, biodiversité… Si les pays de cette région se libéraient du néocolonialisme et unissaient leurs efforts, ils parviendraient à sortir de la pauvreté. Voilà ce que souhaite l’Erythrée pour la Corne de l’Afrique. Bien évidemment, les Etats-Unis ne souhaitent pas que ce projet voie le jour car ils pourraient faire une croix sur le contrôle de cette région stratégique et sur l’accès à ses matières premières. Washington essaie donc de faire pression sur le président Isaias Afwerki pour qu’il change sa politique. En fin de compte, l’Erythrée, qui a dû mener un long combat pour obtenir son indépendance en 1993, lutte encore aujourd’hui pour protéger sa souveraineté nationale.

Le combat pour l’indépendance mené par l’Erythrée est le plus long de l’histoire de l’Afrique. Le pays a d’abord été colonisé par les Italiens en 1869. Comment l’Italie, qui n’était pas un grand empire colonial, s’est-elle retrouvée en Erythrée ?
Il faut replacer cela dans le contexte de l’Europe au 19ème siècle. A l’époque, le vieux continent était le théâtre d’une lutte sans merci entre les puissances impérialistes pour le contrôle des colonies et de leurs matières premières. Il y avait déjà une très forte rivalité entre la France et la Grande-Bretagne. Et l’unification de l’Italie en 1863 puis celle de l’Allemagne en 1871 firent apparaître de nouveaux concurrents de taille. De plus, le monde capitaliste connut sa première crise majeure en 1873. Cette crise entraîna le démantèlement progressif de l’empire ottoman et exacerba encore plus les appétits rivaux des puissances européennes. L’Allemagne, par exemple, voulait profiter du démantèlement de l’empire ottoman pour acquérir de nouvelles colonies. De leur côté, les Britanniques soutenaient Istanbul pour bloquer l’expansion allemande.
Le chancelier Bismarck décida donc d’organiser la conférence de Berlin en 1885. C’est un événement majeur dans l’histoire du colonialisme : alors que jusque là, elles s’étaient surtout installées sur les côtes de l’Afrique pour y établir des comptoirs commerciaux, les puissances européennes projetèrent lors de cette conférence de coloniser graduellement l’ensemble du continent. Ainsi, pour éviter de nouveaux conflits et relancer l’économie capitaliste, l’Europe se mit d’accord sur le partage du gâteau africain. Durant ces discussions, la Grande-Bretagne encouragea les Italiens à s’installer dans la Corne de l’Afrique. La stratégie des Britanniques était d’inviter une puissance coloniale pas très menaçante (l’Italie) pour bloquer l’expansion de concurrents plus sérieux (la France et l’Allemagne).

L’Europe se partagea l’Afrique mais au début du 20ème, l’Ethiopie était le seul pays indépendant du continent. Pourquoi ?
Cette particularité résulte d’un compromis entre les Français et les Britanniques. Les premiers avaient pour projet de s’étendre de Dakar à Djibouti. Or, les seconds ambitionnaient de déployer leur empire du Caire au Cap, en Afrique du Sud. Si vous observez une carte de l’Afrique, vous verrez qu’immanquablement, ces projets coloniaux étaient amenés à se télescoper. Pour éviter un conflit qui aurait entraîné de grosses pertes dans les deux camps, la France et la Grande-Bretagne ont décidé de ne pas coloniser l’Ethiopie. Mais les impérialistes n’ont pas pour autant renoncé à ce territoire. Ils ont soutenu et armé Menelik II qui régnait sur une des régions les plus riches d’Ethiopie. Avec le soutien des puissances coloniales, Menelik II a pris le dans toute l’Ethiopie et permis aux Français et aux Britanniques d’avoir accès aux ressources de son empire.
Finalement, si l’Ethiopie était le seul pays à ne pas être colonisé, on ne peut pas dire pour autant qu’elle était indépendante ! Celui qui se faisait appeler Menelik II, Negusse Negest d’Ethiopie, lion conquérant de la tribu de Judah, élu de Dieu, n’était qu’un agent des puissances impérialistes, incapable de bâtir un Etat moderne. Il avait été choisi notamment parce que c’était un chrétien orthodoxe et qu’il provenait d’une des régions les plus riches d’Ethiopie. Menelik.Tout cela a créé de nombreuses inégalités qui se ressentent encore aujourd’hui en Éthiopie.

Érythrée, par contre, fut colonisée par l’Italie. Mussolini déclara même plus tard qu’elle serait le cœur du nouvel empire romain. Quels furent les effets de la colonisation italienne en Érythrée ?
Quand elle colonisa Érythrée, l’Italie comptait trop de paysans dans ses frontières. Beaucoup ont émigré en Suisse ou en France. Et d’autres sont partis s’installer en Érythrée. Avec son paysage de carte postale et son climat agréable, la nouvelle colonie italienne en faisait rêver plus d’un. Des colons se sont implantés sur place avec les paysans. La bourgeoisie italienne a alors beaucoup investi en Érythrée. La situation géographique de cette colonie l’intéressait particulièrement. En effet, le pays a de longues côtes bordant la mer Rouge. Il est proche du Canal de Suez au nord et du détroit de Bab-el-Mandeb au sud : un des couloirs de navigation les plus fréquentés du monde, reliant la mer Rouge à l’Océan Indien.
Les Italiens ont donc investi en Érythrée et développé des plantations, des ports, des infrastructures… Pour vous donner une idée du niveau de développement de cette colonie, lorsque les Britanniques vont envahir Érythrée durant la Seconde Guerre mondiale, ils vont carrément démonter des usines pour les emporter !

On paraît loin des pillages habituels ou des mains coupées du Congo belge. L’Erythrée était-elle une exception dans le monde impitoyable du colonialisme ?
Il y a eu des aspects positifs mais il ne faut pas se leurrer, le colonialisme italien restait un concept discriminatoire où les Noirs n’avaient pas beaucoup de droits par rapport aux Blancs. Pourquoi ? En fait, quand l’Italie s’est emparée de Érythrée et d’une partie de l’actuelle Somalie à la fin du 19ème siècle, elle a tenté de poursuivre son expansion en Éthiopie. Mais les soldats italiens ont été vaincus par Menelik II durant la bataille d’Adoua en 1896. Dans les années suivantes, l’idéologie fasciste s’est développée au sein de l’intelligentsia italienne avec la volonté de restituer l’honneur du pays qui avait été vaincu par des Noirs. Le colonialisme italien était donc très raciste envers ces derniers. La population érythréenne avait été intégrée au projet colonial mais en tant que classe inférieure.
D’ailleurs, le fascisme italien (qui arrive au pouvoir en 1922) était avant tout basé sur un racisme anti-noir, il n’était pas antisémite comme le fascisme allemand. Des juifs ont travaillé au sein d’organisations fascistes en Italie ! Et Mussolini avait une maîtresse juive. Imaginez cela pour Hitler ! Ce n’est que plus tard, vers la fin des années trente, que l’Italie va commencer à persécuter les juifs. D’abord, parce que Mussolini s’était rapproché d’Hitler. Ensuite, parce que le parti fasciste italien avait besoin d’un second souffle. Il utilisa donc la communauté juive comme bouc émissaire pour mobiliser la population italienne.

Finalement, les fascistes italiens ont eu leur revanche sur l’Ethiopie : en 1935, les troupes de Mussolini envahirent le seul pays non colonisé de l’Afrique.
Oui, même si l’occupation de l’Ethiopie ne dura pas très longtemps. En 1941, en pleine guerre mondiale, l’armée britannique chassa les Italiens de la région et les Alliés prirent le contrôle de la Corne de l’Afrique. Au lendemain de la guerre, si l’Ethiopie retrouva son « indépendance », le sort de l’Erythrée, par contre, fit débat.
L’Union soviétique souhaitait que cette colonie obtienne son indépendance. De leur côté, comme ils l’avaient fait un peu partout, les Britanniques souhaitaient diviser le pays en deux sur base de la religion : les musulmans devaient rejoindre le Soudan et les chrétiens orthodoxes l’Ethiopie. Il est intéressant de noter que l’Eglise éthiopienne était favorable à cette option et faisait pression sur les chrétiens d’Erythrée pour qu’ils l’acceptent. Elle leur disait que s’ils refusaient, ils ne seraient pas enterrés et leur âme ne rejoindrait pas le paradis. Malgré tout, les chrétiens d’Erythrée refusèrent : ils se sentaient Erythréens avant toute chose ! Ce sentiment d’appartenance s’explique notamment par le fait que les Italiens, à l’inverse de nombreuses puissances impérialistes, avaient intégré le peuple érythréen au projet colonial sans distinction ethnique. Mais finalement, ce fut la troisième option qui l’emporta, celle des Etats-Unis : l’Erythrée devait être intégrée à l’Ethiopie dans un système fédéral.

Pourquoi les Etats-Unis soutenaient-ils cette option ?
Sa position géographique avait conféré à l’Erythrée une grande importante aux yeux de Washington pendant et après la Seconde Guerre mondiale. Dès les années 40, le Pentagone et des firmes d’armement privées développèrent d’importants projets dans le pays : une ligne d’assemblage d’avions, des ateliers de réparation, une force navale… Et surtout, dans les années 90, les services de renseignement américains établirent dans sa capitale Asmara une de leurs plus importantes bases à l’étranger. A l’époque, il n’y avait pas de surveillance satellite comme aujourd’hui et les systèmes d’écoute avaient une portée limitée. Mais depuis l’Erythrée, vous pouviez surveiller ce qui se passait en Afrique, au Moyen-Orient, dans le Golfe et même dans certaines parties de l’Union soviétique.
Les États-Unis plaidèrent donc pour que: « Du point de vue de la justice, les opinions du peuple érythréen doivent être prises. Néanmoins, les intérêts des États-Unis dans le bassin de la Rouge, et les considérations pour la sécurité et la paix dans le monde, rendent nécessaire que ce pays soit rattaché à notre allié, l’Ethiopie ». Voilà comment fut réglé le sort de l’Erythrée. Avec de lourdes conséquences : la plus longue lutte pour l’indépendance en Afrique allait commencer…

A suivre dans les prochaines semaines, les deuxième et troisième parties de notre interview sur l’Erythrée. Avec Mohamed Hassan, nous retracerons les trente ans d’un combat épique mené par les résistants. Nous découvrirons les enjeux de la révolution érythréenne, ses similitudes avec Cuba. Nous aborderons également la question des droits de l’homme en Erythrée, objet d’attaques des puissances occidentales. Enfin, nous analyserons ce fameux paradoxe africain : tant de richesses pour une population si pauvre.

Mohamed Hassan recommande les lectures suivantes:

- Dan Connell, Against All Odds. A Chroincle of the Eritrean Revolution , The Red Sea Press, Inc, 1997

- Firebrace & Holland, Never Kneel Down, Spokesman, 1984


Mohamed Hassan* est un spécialiste de la géopolitique et du monde arabe. Né à Addis Abeba (Ethiopie), il a participé aux mouvements d’étudiants dans la cadre de la révolution socialiste de 1974 dans son pays. Il a étudié les sciences politiques en Egypte avant de se spécialiser dans l’administration publique à Bruxelles. Diplomate pour son pays d’origine dans les années 90, il a travaillé à Washington, Pékin et Bruxelles. Co-auteur de L’Irak sous l’occupation (EPO, 2003), il a aussi participé à des ouvrages sur le nationalisme arabe et les mouvements islamiques, et sur le nationalisme flamand. C’est un des meilleurs connaisseurs contemporains du monde arabe et musulman.

Déjà paru dans notre série "Comprendre le monde musulman":

- Comment expliquer le succès du Hamas?

- Réponse à vos questions sur le Hamas: "Gaza est un endroit normal avec des gens normaux"

- Crise au Darfour: le sang, la faim et le pétrole

- Afghanistan-Pakistan: Le trou noir de l'Empire

- Que doit faire Ahmadinejad pour recevoir le Prix Nobel?

- Somalie: Comment les puissances coloniales maintiennent le pays dans le chaos

- Yémen: Ce n'est pas Al-Qaïda que les USA combattent, mais la démocratie

 
"Si vous n’y prenez pas garde, les journaux finiront par vous faire haïr les opprimés et adorer les oppresseurs." Malcom X

Archives
février 2007 / mars 2007 / avril 2007 / mai 2007 / juin 2007 / juillet 2007 / août 2007 / septembre 2007 / octobre 2007 / novembre 2007 / décembre 2007 / janvier 2008 / février 2008 / mars 2008 / avril 2008 / mai 2008 / juin 2008 / septembre 2008 / octobre 2008 / novembre 2008 / décembre 2008 / janvier 2009 / février 2009 / mars 2009 / avril 2009 / mai 2009 / juin 2009 / juillet 2009 / août 2009 / septembre 2009 / octobre 2009 / novembre 2009 / décembre 2009 / janvier 2010 / février 2010 / mars 2010 / avril 2010 / mai 2010 / juin 2010 / juillet 2010 / août 2010 / septembre 2010 / octobre 2010 / novembre 2010 / décembre 2010 / janvier 2011 / février 2011 / mars 2011 / avril 2011 / mai 2011 / juin 2011 / juillet 2011 / août 2011 / septembre 2011 / octobre 2011 / novembre 2011 / décembre 2011 / janvier 2012 / février 2012 / mars 2012 / avril 2012 / mai 2012 / juin 2012 / juillet 2012 / août 2012 / septembre 2012 / octobre 2012 / novembre 2012 / décembre 2012 / janvier 2013 / février 2013 / mars 2013 / avril 2013 / mai 2013 / juin 2013 / juillet 2013 / août 2013 / septembre 2013 / octobre 2013 / novembre 2013 / décembre 2013 / janvier 2014 / février 2014 / mars 2014 / avril 2014 / mai 2014 / juin 2014 / juillet 2014 / août 2014 / septembre 2014 / octobre 2014 / novembre 2014 / décembre 2014 / janvier 2015 / février 2015 / mars 2015 / avril 2015 / mai 2015 / juin 2015 / juillet 2015 / août 2015 / septembre 2015 / octobre 2015 / novembre 2015 / décembre 2015 / janvier 2016 / février 2016 / mars 2016 / avril 2016 / mai 2016 / juin 2016 / juillet 2016 / août 2016 / septembre 2016 / octobre 2016 / novembre 2016 / décembre 2016 / janvier 2017 / février 2017 / mars 2017 / avril 2017 / mai 2017 / juin 2017 / juillet 2017 / août 2017 / septembre 2017 / octobre 2017 / novembre 2017 / décembre 2017 / janvier 2018 / février 2018 / mars 2018 / avril 2018 / mai 2018 / juin 2018 / juillet 2018 / août 2018 / septembre 2018 / octobre 2018 / novembre 2018 / décembre 2018 / janvier 2019 / février 2019 / mars 2019 / avril 2019 / mai 2019 / juin 2019 / juillet 2019 / août 2019 / septembre 2019 / octobre 2019 / novembre 2019 / décembre 2019 / janvier 2020 / février 2020 / mai 2020 /


Powered by Blogger

Abonnement
Articles [Atom]