ELWATAN-ALHABIB
vendredi 26 février 2010
 

Révélation : Comment Tounsi a été tué dans son bureau

Contrairement à la version du ministère de l'intérieure qui parle d'acte de démence, nos informations indiquent clairement qu'il s'agit d'un acte réfléchi et froidement exécuté.

Selon nos informations recueillies à Alger, le directeur général de la sureté nationale, M Ali Tounsi, a été assassiné dans son bureau jeudi 25 février à 10h du matin.
Ce jour là, il a rendez vous avec M. Oultache Chouaib, directeur de l'unité aérienne de la sureté nationale, (la flotte d'hélicoptères de la police) basée à Dar El Beida. Depuis quelques temps, les relations entre les deux hommes se sont détériorées. A la suite d'un différent entre les deux hommes, M. Ali Tounsi, patron de la police depuis près de quinze ans, a fait comprendre à M. Oultache Chouaib qu'il ne comptait plus sur son travail et qu'il envisageait de le mettre à la retraite, tout comme d'autres cadres de la DGSN. Cette décision n'était visiblement pas du gout de l'ancien militaire. Ce colonel à la retraire, âgé de 64 ans, pilote d'aviation, est parfaitement sain d'esprit et il n'est pas du genre à se laisser faire. Lors de ce rendez vous, il entendait bien le faire comprendre à son patron.
M. Oultache arrive à 10h précise. Les deux hommes s'enferment dans l'immense bureau du patron de la police.
Une fois à l'intérieur, le colonel sort son arme et tire froidement cinq balles sur Ali Tounsi qui décède dans son bureau. Son premier forfait accompli, l'homme sort. Il demande à la secrétaire de Tounsi, qui n'a rien vu ou entendu ( Le bureau du DGSN est insonorisé) d'appeler d'autres responsables de la DGSN.
Le chef de la sécurité d'Alger arrive parmi les premiers sur les lieux. Il voit l'assassin avec une arme à la main. Eclate alors une fusillade qui fait plusieurs blessés dont M. Oultache. L'assasssin, touché, est évacué vers Ain Naadja avec les treize autres personnes blessées dans la fusillade dont le directeur de cabinet de Ali Tounsi et le chef de la sureté d'Alger .

Pourquoi le ministère de l'intérieure veut il faire croire à un acte de démence, alors que les conflits entre des cadres de la DGSN et le ministère de l'intérieure sont un secret de polichinelle. A plusieurs reprises, en 2008 et en 2009, des décisions de Ali Tounsi, de nominations de hauts cadres dans l'institution qu'il dirige, n'ont pas été validé par son ministre de tutelle, Yazid Zerhouni. Les désaccords entre les deux hommes sur les nominations des cadres à des postes sensibles sont sorties du cercle restreint et se sont retrouvées dans la presse. Quel mobile a t-il donc poussé un homme de 64 ans, expérimenté, à commettre l'irréparable? Il faudra trouver autre chose que la version de la démence pour expliquer un geste pareil dans un contexte politique perturbé. Il faudra probablement attendre l'enquête pour comprendre les véritables motifs d'un tel acte, à condition, bien sur, qu'on ne cherche pas à se cacher derrière la folie pour éviter de chercher dans la raison.

Y. El Mizrani
 
 

La mort d'Ali Tounsi


Mounadil Djazaïri
Vendredi 26 Février 2010

La mort d'Ali Tounsi

Ali Tounsi, le chef de la DGSN (Sûreté nationale) vient d'être assassiné alors qu'il était en réunion avec ses proches collaborateurs. C'est précisément un de ces derniers qui aurait tiré sur M. Tounsi car il était révolté à l'idée d'être limogé pour corruption.
En soi, un limogeage pour cause de corruption n'a rien de scandaleux. Sauf quand celui qui s'apprête à prendre une décision de ce genre est tout sauf un modèle de vertu. Car M. Tounsi n'est pas spécialement exemplaire en matière de probité, c'est le moins que l'on puisse dire.
Pas plus que le corps de la Sûreté nationale dont il était le chef et qui, paradoxalement, est un important pourvoyeur de cadres dans les représentations consulaires de l'Etat algérien à l'étranger. Cherchez l'erreur.
Alors, si on peut toujours déplorer la mort violente d'un homme, est-il pour autant imaginable d'évoquer, comme le fait M. Zerhouni, ministre Algérien de l'Intérieur, "le patriotisme de feu Colonel Ali Tounsi, compagnon d'armes et cadre valeureux".?
Compagnon d'armes peut-être, mais avec qui et quand?

Quoi qu'il en soit, le dénouement de cette réunion en dit long sur l'état de décomposition de l'institution policière. S'il se confirmait que l'auteur du meurtre pourrait être le propre gendre du chef de la DGSN, ce ne serait qu'une illustration supplémentaire de cette déliquescence d'un instrument essentiel de l'Etat. Si les autres institutions fonctionnent de la même manière, les dirigeants n'ont plus qu'à espérer que les prix du pétrole restent à un niveau suffisamment élevé, faute de quoi l'Algérie explosera encore.


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samedi 20 février 2010
 

Le terrorisme international juifiste

Par Davidel



Avez-vous remarqué ? Depuis que des mandats d’arrêts ont été lancés par Dubaï contre les 11 terroristes juïfistes, les capitales oxidentales contrôlés par les sionistes donnent des apparences de coopérations mais leurs visages nauséeux montrent un désenchantement, comme gênés et informés depuis longtemps des opérations terroristes juïfistes. Leurs amis juïfistes sont recherchés par la police arabe avec l’aide d’Interpol bien entendu.

Comme je l’ai entendu siffloter a mes oreilles, pour une fois les visages des criminelles ne sont pas les mêmes. Effectivement, d’habitude ce sont des arabes des noirs et des musulmans… mais aujourd’hui 11 juïfistes sont recherchés par Interpol. Si vous regardez le France 3 minuit du 18 février 2010, la chaine a invité le grand géo-stratège pas du tout encré dans l’idéologie fétide sioniste nous faire une véritable apologie des membres du mossad.

A les entendre, ce fiasco du mossad peut être lu de deux façons selon la grande pensée des sionistes : soit le mossad s’est complètement planté selon lui et il a négligé les cameras, soit c’est un message aux nations arabes leurs disant « attention, nous sommes toujours opérationnels ».

Il a simplement oublié les dizaines d’espions arrêtés et même récemment jugé par pendaison.
encel, grand stratège devant les zelu, a toujours le mot pour rire, je crois entendre un analyste de comptoir. il sait parfaitement qu’ils n’ont plus les grands moyens d’avant.

La réalité est tout autre. Les juïfistes sont tellement imbus de leur personne, sont tellement zelu qu’ils omettent les capacités des arabes et des musulmans. Lorsque les juifs sionistes ont attaqué la petite ville de Ghaza et la petite résistance, ils pensaient en venir a bout en un week end. Ou lorsqu’ils ont attaqué la Liban, le mossad avait enlevé une personne susnommée nasrallah pensant qu’il était le fameux sayed nasrallah.

Franchement, le mossad ne serait pas s’il n’avait pas l’aide des collabos palestiniens en premier lieu et de l’Europe. Cependant, cette affaire est une véritable claque dans le visage criminelle du sionisme : ceci dévoile leur cruauté, leur terrorisme internationale, leur complotisme qu’ils ont toujours nié… tout est contre cette entité criminelle rempli de voleur, de tueur et de menteur.

Le Site d’AL Qassam rapporte que le mossad avait préparé et géré l’assassina d’El Mabhouh a partir de l’Autriche. La plupart des terroristes juïfistes ont utilisé des numéros de téléphone cellulaire autrichien et ont communiqué de Dubaï vers l’Autriche avec des numéros cryptés.
La police de Dubaï a confirmé que les communications entre cellulaires ne se faisaient pas directement entre téléphone, mais transitaient par le quartier général des terroristes juïfistes en Autriche. L’Autriche nous dit qu’elle ouvrira une enquête. Gageons qu’ils vont éteindre le souffle qui alimente la braise du rejet de cette entité usurpatrice.

Le site Al Qassam ajoute que tous les terroristes juïfistes ont pris l’avion pour Dubaï a partir de pays européens : 5 venant d’Allemagne (Munich et franckfort), 4 de Zurich, 2 de paris et 4 de Rome. Ceci démontre aussi que tous les aéroports sont contrôlés par ces sionistes.

Ceci démontre aussi que les capitales européennes sont infestées de ces terroristes et que lorsqu’il y a un attentat vous savez d’où cela peut venir. En France, nous avons eu des braquages étranges que la presse n’a pas clairement formulés ou a simplement relevés :

Des kilos d’or sont volés en France et en Europe dans des entreprises inconnus par le grand public et mêmes surveillé par les RG. Des entreprises de fonderie d’or ou mêmes les employés ont pour obligations de ne pas en parler. Des centaines de kilos d’or sont volés par des terroristes parfaitement entrainé… qui est derrière cela a votre avis ? a Anvers dans l’entre du diamant juif volé par des juifs sionistes…

Ou la dernière opération enfumage par les juïfistes : habillé en bourqa, les sionistes ont volé une banque postale. En pleine polémique des juifs sionistes sur l’interdiction des musulmanes de conserver leur intimité.

Bref, les juïfistes pensent, en les lisant sur leur forum de propagande, qu’ils ont réussit. Ils oublient qu’ils n’ont pas affaire a des arabes, mais a des musulmans. C’est absolument défirent car le Hamas, comme le hezbolah auront tout le loisir pour rendre la monnaie. Même si cela devait prendre une génération, ils le feront. C’est comme cela…

Pour les sionistes le tempe c’est de l’argent, pour les musulmans le temps est relatif.
 
dimanche 14 février 2010
 

Le sionisme démasqué




Jeff Gates
Vendredi 12 Février 2010


Le sionisme démasqué

Même s’il est exact de définir le sionisme comme une idéologie nationaliste, ce qu’il est manifestement, cette définition étroite ne rend pas totalement justice au sionisme, qui est bien davantage que cela.

Il serait plus exact de définir le sionisme comme une stratégie ciblant la pensée et les émotions en tant que moyens permettant d’influencer les comportements. Les juifs naïfs furent ses premières victimes, lorsqu’ils furent entraînés à s’identifier à une enclave au Moyen-Orient, que le président américain Harry Truman, un chrétien sioniste, fut incité à reconnaître en tant qu’ « Etat ».

Avant toute chose, et pour l’essentiel, le sionisme est un état mental qui se manifeste sous une forme dispersée de nationalisme internalisé – une diaspora – qui cornaque vers une enclave extrémiste ceux qui n’y auraient sans doute jamais mis les pieds. Après 1967, cet « Etat » devint la « Terre d’Israël », fondée sur une zone territoriale beaucoup plus étendue, conquise par l’armée israélienne en même temps que d’autres territoires occupés à propos desquels les sionistes prétendent que ce serait un dieu qui les leur aurait donnés.

Quand (comme actuellement) la politique de l’Etat sioniste est soumise à des attaques, des campagnes médiatiques tentent de faire croire à une explosion d’antisémitisme et de haine – non pas envers le sionisme, mais bel et bien à l’encontre des juifs – car cela permet de renforcer le recrutement.

En choisissant d’identifier leurs intérêts à ceux du sionisme, les juifs choisissent délibérément l’insécurité dont ils se plaignent. Pour assurer son succès, le sionisme ne se contente pas de miser sur la tromperie : il y ajoute l’auto-intoxication.

Beaucoup de juifs bien informés se sont opposés à la fondation d’Israël en 1948. Avant1967, les juifs américains étaient actifs au sein du mouvement pour les droits civiques. Avec la guerre des Six jours, ce militantisme commença à poser problème : comment des juifs pouvaient-ils soutenir les droits civils des Noirs, tandis que le sionisme déniait ces mêmes droits aux Palestiniens ?

Cette époque marqua un tournant tant pour le sionisme que pour le judaïsme authentique, de nombreux juifs abandonnant le militantisme pour les droits civils, dès lors qu’ils ne pouvaient plus concilier leur militantisme avec l’oppression israélienne. D’où l’état mental actuel des nombreux conseillers juifs sionistes du président Barack Obama.

La guerre des Six-Jours incita davantage de juifs à identifier le sionisme à un défenseur des juifs. Bien que nous sachions, aujourd’hui, que cette guerre n’était qu’un plan d’accaparement de terres planifié depuis très longtemps ayant pour but d’humilier les Arabes et les musulmans. Désormais associées à une occupation militaire meurtrière, des décennies de provocations israéliennes ne pouvaient que susciter les réactions violentes indispensables pour justifier une « guerre contre le terrorisme ».

En termes de planification guerrière par la théorie des jeux, les résultats obtenus aujourd’hui étaient parfaitement prévisibles : ils étaient modélisables mathématiquement avec une marge de probabilités acceptable. Une fois encore, le sionisme avait ciblé la pensée et les émotions afin de manipuler les comportements en provoquant des antagonismes et en suscitant l’extrémisme – les deux ingrédients clés dont les sionistes avaient besoin pour pouvoir proclamer leur ‘insécurité’ avec un minimum de plausibilité.

Aussi peu nombreux que leurs ambitions étaient démesurées, les sionistes avaient-ils un meilleur choix que de séduire et d’embobiner une superpuissance afin que notre armée (l’armée US, ndt) fassent leur guerre à leur place, avec pour objectif le Grand Israël ?

Leur ennemi, c’est la paix

La paix est cet état périlleux qu’une idéologie nationaliste misant sur des crises à répétition associées à un état de conflictualité et de peur permanentes se doit d’éviter à tout prix. La réalisation de l’objectif sioniste – une hégémonie sur l’ensemble du Moyen-Orient – requiert une série de Malfaiteurs plausibles et un récit persuasif. Le sionisme ne serait-il pas, par hasard, la ligne rouge que nous avons suivie si scrupuleusement, qui nous a conduits de la guerre froide à la guerre au terrorisme ? [voir : How Israel Wages War on the U.S [Voici comment Israël fait la guerre aux Etats-Unis] http://criminalstate.com/2010/01/how-israel-wages-war-on-the-u-s-%E2%80%94by-way-of-deception/ ].

En lieu et place des « dividendes de la paix » post-guerre froide anticipés, les Etats-Unis se retrouvent en train de faire ce que le prix Nobel de l’économie Joe Stiglitz appelle La Guerre des Trois trillions de dollars : trois trillions de dollars empruntés, du premier jusqu’au dernier dollar, générant 700 milliards de dollars d’intérêt.

Après coup, la filière des renseignements bidons qui nous ont entraînés dans la guerre au Moyen-Orient a pu être remontée jusqu’aux Israéliens, aux pro-israéliens et aux marionnettes mises en place à cette fin, comme le menteur irakien Ahmad Chalabi.

Mis à part les gens ayant en partage une mentalité sioniste, qui avait les moyens, le motif, l’opportunité et, surtout, l’information propre à un Etat-nation pour conduire de telles opérations à l’intérieur-même des Etats-Unis ?

Et pourtant, même les responsables éludent la reddition de comptes, et même l’examen, tandis que des hauts-cris à l’ « antisémitisme » sont lancés afin d’intimider et d’égarer, par la manipulation intellectuelle et émotionnelle.

A la fin de la Seconde guerre mondiale, les Etats-Unis revendiquaient détenir 50 % de la force productive mondiale, assurant que nous bénéficierions des bons du Trésor les plus cotés au monde durant au minimum deux générations. Quand la guerre froide toucha à son terme coûteux, en 1989, les Etats-Unis avaient dépensé 15,9 trillions de dollars (au cours de 2010) pour leur défense, depuis 1948. Et voici qu’aujourd’hui, une guerre potentiellement sans fin s’est substituée à la guerre froide.

Les Américains ont été induits à croire que l’Etat sioniste était pour eux un allié. Nous ne sommes pas les seuls à voir dans Israël une nation légitime et une noble expérience visant à assurer un « foyer national » à un peuple persécuté. Ce récit historique trompeur a fait de la communauté juive au sens large une victime, tout en salissant la nation (américaine) qui fut la première à tomber dans le panneau consistant à tendre aux sionistes la main de l’amitié.

Echapper aux ravages du sionisme requiert de nous que nous reconnaissions sa nature duplice et que nous rendions ses manœuvres transparentes afin que ses agents soient eux aussi démasqués. Tandis que l’opinion publique mondiale, trompée depuis si longtemps, comprend quel en est le coût en sang versé et en richesses détruites, cet état mental (qu’est le sionisme) ne tardera pas à être perçu pour ce qu’il est : le principe d’un Etat criminel.

Le psychopathe Inside

Dans la littérature de la psychiatrie clinique, cet « état » présente des traits de pathologie interpersonnelle tels qu’un charme superficiel, un mensonge pathologique, l’égocentrisme, l’absence de tout remords et une brutalité qui sont considérés caractéristiques de la psychopathie. En vue de trahir, les psychopathes commencent par nouer des liens d’amitié. Afin de tromper, ils commencent par établir une relation de confiance. Cela ne vous dit rien ?

Les gens qui sont dans un état mental tel que celui-là auront tendance à susciter avec entrain de la haine, afin de catalyser une réaction, ce qui leur permettra de clamer qu’ils sont des victimes de (ladite) haine. Pour ceux qui habitent cet état mental, il semble rationnel, et même désirable de provoquer une réaction, puis d’affirmer qu’ils sont une cible pour des antisémites. Dans cet état interne, l’auto-absorption est universelle, l’arrogance en étant la manifestation la plus visible.

La loi est hors-sujet, pour ceux qui se considèrent au-dessus des lois. La moralité et la conscience importent en rien à ceux qui se considèrent Les Elus – par un dieu qu’ils ont choisi eux-mêmes.

Une telle idéologie nationaliste n’a pas de place dans un système étatique voué à l’état de droit.
Ceux qui partagent un tel « état » représentent un péril bien trop grand pour faire l’objet de pitié ou de compassion. La reddition de comptes est la seule réponse appropriée, accompagnée d’une initiative – en déployant la force militaire en tant que de besoin – visant à mettre en sécurité toute arme de destruction massive qui serait susceptible d’être en leur possession.

Un tel état ne saurait être délégitimé, étant donné que toute légitimité à laquelle il est censé avoir accédé faisait partie intégrante de la fraude qu’il a infligée à la communauté des nations. La question du moment est la suivante : comment protéger au mieux un monde aspirant à la paix contre les menées d’une idéologie psychopathique ayant pris l’apparence d’une légitimité afin qu’un Président (américain) sioniste chrétien puisse être amené, par la tromperie, à reconnaître en tant que nation un Etat criminel ?

Traduit de l’anglais par Marcel Charbonnier / source: http://criminalstate.com/author/jeff-gates/

Jeff Gates est un auteur largement salué ; il est avocat, banquier investisseur, éducateur et consultant auprès de gouvernements, de chefs d’entreprises et de dirigeants syndicaux dans le monde entier. Son dernier ouvrage est Guilt By Association—How Deception and Self-Deceit Took America to War [Culpabilité par association : Comment la tromperie et l’auto-intoxication ont entraîné l’Amérique dans la guerre] (2008). Parmi ses œuvres précédentes, nous citerons Democracy at Risk: Rescuing Main Street From Wall Street [La démocratie en danger : Il faut sauver l’homme de la rue de l’homme de Wall Street] et The Ownership Solution: Toward a Shared Capitalism for the 21st Century [La solution de la propriété : Vers un capitalisme partagé pour le 21ème siècle]. Durant deux décennies, Jeff Gates a été le conseiller de décideurs politiques du monde entier. Il a été conseiller auprès de la Commission sénatoriale des Finances de 1980 à 1987.



http://criminalstate.com/author/jeff-gates/ http://criminalstate.com/author/jeff-gates/
 
lundi 8 février 2010
  L'inquisition sioniste en occident

L’inquisition sioniste en occident,





Un certain nombre de personnes me demande de faire plus pour les palestiniens. De montrer le comportement odieux et barbare des sionistes. Le problème, c’est que l’on aura beau dénoncer ce « peuple de barbare sioniste », loin de chez, et moins l’occident s’y intéressera… car les medias sont contrôlés par l’idéologie sioniste.

Mon angle d’attaque est de dénoncer le contrôle de tous les secteurs : médiatique, culturel, politique, affaire étrangère et même l’influence sur les comportements sociaux. c’est pour cela que vous aurez remarqué que les musulmans sont la cible de tous les juifs sionistes depuis 2000..

Le but est d’humilier les musulmans, mais aussi de leur imposer la ségrégation. Tant que les musulmans étaient plutôt dans une posture d’intégration pendant un demi-siècle comme ils aiment le dire, ils n’étaient pas une « menace » pour les juifs sionistes. Maintenant, qu’ils ont étudié, ont une opinion politique et sûr de leur opinion, les sionistes font tous pour poser la fameuse question : l’islam est il compatible avec l’occident ?

Si l’on pose la question est ce que le judaïsme est compatible avec la république, c’est d’avance une question qui pousse à refuser la présence des juifs. C’est donc bien de la judéophobie.

Ce n’est pas une question innocente. Bien au contraire. La poser c’est déjà pousser les plus ignorants a refuser l’islam. En réalité, il n’est pas question d’islam, mais de musulmans. Leur haine se porte sur les musulmans tout en faisant croire qu’il est question d’islam. Ils peuvent ainsi répandre leur idéologie haineuse hitlérienne. Lorsque dans les années trente, il était question de la juiverie, c’était non pas les juifs en eux-mêmes, puisqu’ils étaient parfaitement intégrés, mais de leur religion, leur pratique et leur tradition... Donc leur comportement. Ils ont chassé les juifs parce qu’ils étaient juifs.

Aujourd’hui, les juifs sionistes chassent les musulmans parce qu’ils sont musulmans. Tous les autres prétextes ne sont avancés que pour cacher leur maléfique programme de sionisation du reste du monde. Que cela soit clair, la France est sioniste depuis des siècles par l’introduction de l’idéologie a des niveaux dont vous n’avez même pas le moindre soupçon… la politique du sionistan a l’égard des musulmans, des chrétiens et des arabes aujourd’hui est mots pour mots appliqués en occident. Pour le moment, si vous ne voyez pas l’idéologie sioniste dans notre société c’est que vous êtes plutôt peu attentif a cela. Il faut vous concentrer et lire leur prose ou leur programme et parfois même tout leur cheminement pour comprendre qu’ils sont dans tous les strates de la société occidentale.

Si a nos yeux, les arabes et les musulmans sont des terroristes ou des gens qui ne méritent qu’humiliation c’est que vous êtes profondément influencés par l’idéologie sioniste. Ils savent y faire sans que vous vous en doutiez. Ils sont capables par exemple de justifier le meurtre de milliers d’innocentes personnes et cela peut ne plus choquer : voir ce qu’ils ont dit et fait sur les libanais, les palestiniens, les irakiens ou maintenant ce qu’ils disent a propos de l’Iran. pour qui travaille kouchner ? c’est ainsi que nous devons regarder les sionistes.

Ce qui nous intéresse ici, ce n’est pas le traitement des musulmans ou des arabes, mais plutôt comment ils arrivent a orienter les regards vers les arabes et pendant ce temps, ils pillent le contribuable, impose des lois restrictives, se placent entre eux a des postes stratégiques… ils travaillent en tribu.

Ils sont capables de toutes les insultes, toute la haine a propos des musulmans et parfois des occidentaux lorsque ces derniers osent se rebeller mais lorsqu’il s’agit de les dénoncer ou d’utiliser leurs méthodes contre eux, ils se mettent a la pleurnicherie mémorielle. Lorsque les juifs sionistes exigent des palestiniens de choisir entre la paix et la violence, c’est le symptôme de la victime violée. Ils accusent leurs victimes de les pousser a être tué…

Vous imaginez une femme violée par un sioniste et celui-ci nous dit qu’elle a choisit d’être violée parce qu’elle choisi la violence.

L’idéologie sioniste infeste notre société : par l’identité nationale et la bourqa, l’IVG dans les écoles, le sionisme raconté a nos potes… si vous êtes d’accord avec le débat infâme sur l’identité nationale, posez vous la question a quoi cela a-t-il servi ? Qu’en sort-il ? Qu’a-t-il apporté dans votre quotidien ?

L’idéologie sioniste permet aux sionistes de se maintenir au pouvoir dans les pires moments de notre histoire, dans un moment ou les gens sont dans les pires souffrances en raison de la vie couteuse et du chômage hégémonique.

Regardez comment ils ont enclavé la Palestine et vous comprendrez comment ils essayent de compartimenter les individus, les croyants, et les personnes. Vous avez tous entendu sarkozy parler : les chômeurs et les travailleurs, les paysans et les banlieusards, les turcs et les arabes etc… c’est leurs méthodes depuis des millénaires. Au temps du dernier prophète, les juifs sionistes utilisaient ces méthodes pour créer la discorde, la guerre et les divisions.

En ce moment, c’est aussi la division entre les musulmans que les juifs sionistes utilisent : chiite et sunnite. Malgré toute cette conspiration juives sionistes, le Hamas et le hezbollah ont réussi a construire un pont entre eux pour s’entrainer et s’échanger des informations.

Vous pouvez ne pas prendre la défense des palestiniens, mais en observant le comportement des juifs sionistes vous comprendrez qu’ils agissent sournoisement en occident contre toutes personnes qui s’opposent a leur objectifs haineux. Leur arme ultime est l’antisémitisme.

Comme s’ils étaient le seul peuple a avoir une origine, une identité et tout le reste n’est que goym, sans conscience, bref, des animaux. La Palestine est une priorité dans mon cœur, mais aussi primordiale que l’éveille rapide de la population occidentale et ainsi nous aurons réglé très rapidement le problème du vol des terres palestiniennes. En occident aucune autre religion ou opinion n’a plus le droit de présenter. Seul la lèche au peuple zelu permet de réussir comme ce georges freche l’avait utilisé en son temps. Quoi que… aujourd’hui, d’autres sionistes s’attaquent a lui…

Lorsque le goym ne sert plus, il est de suite perdu. cela s’appelle la justice de Dieu.
 
jeudi 4 février 2010
 

Pourquoi l’Algérie refuse obstinément de figurer sur la liste noire des USA et de la France

Sacrilège ! Les USA et la France ont donc classé l’Algérie dans la liste noire de pays au grand potentiel terroriste. L’Algérie qui avait reçu, pourtant, le titre glorieux de « partenaire privilégié contre le terrorisme international », décerné par les plus hautes autorités américaines. En raison de sa gestion particulièrement vigoureuse de l’islamisme. une hommelette de 200 000 morts, sans compter le détail du reste.

Patriotisme en bandoulière!

L’Algérie officielle a tout aussitôt jeté des cris d’orfraie, jurant ses grands Dieux que c’était une injustice, un geste inamical à son encontre, et une humiliation pour tous les Algériens. Le Ministre algérien des Affaires étrangères, envoyé daredare aux États Unis pour tenter de raisonner les « amis » américains, fut lui même traité comme le dernier des immigrés afghans, à sa descente d’avion, et il fut soumis aux « procédures corporelles de contrôle » comme n’importe quel ressortissant de pays à risques. Il a eu beau se démener dans tous les sens, rappeler qu’il était le premier diplomate de son pays, et plus encore, agiter l’épouvantail de l’incident diplomatique, il n’en dut pas moins se soumettre à une infamante tracasserie. N’importe quel américain moyennement débile aurait vite compris qu’un ministre des affaires étrangères, même d’Algérie, ne va s’amuser à transporter des bombinettes. Mais les règles étant ce qu’elles sont, et les dirigeants algériens étant considérés comme ce qu’ils sont, le ministre algérien n’eut pas d’autre choix que de s’incliner. Sans plus de réaction algérienne que de pathétiques gesticulations. Et des articles de presse touillés d’indignation hérissée, tambouille ordinaire destinée à la consommation des gogos du cru.

Depuis, le régime algérien qui s’était donc glorifié, en son temps, de titre que lui avaient attribué les Étasuniens, de « partenaire privilégié » contre le terrorisme mondial, ne cessé de remuer ciel et terre pour être sorti, vite fait, de cette fameuse liste. C’est le tir de barrage! Il faut tout entreprendre, user de tous les moyens, y compris d’œillades sonores aux lobbies qui bouffent en Algérie, pour écarter cette catastrophe. Oui, une véritable catastrophe pour tous les barons du régime. Nous saurons pourquoi!

En Algérie, où il n’est pas très important de trouver des prétextes qui tiennent la route, pour justifier tout ce déploiement de moyens diplomatiques, médiatiques, financiers et de lobbying que le régime déploie avec frénésie, ils sort le grand jeu à ses nationaux: Pourquoi le Maroc n’a pas été listé ? Le Maroc est-il plus sûr que notre pays? Bien sûr, se répondent-ils eux mêmes, parce que le Maroc est trop docile, alors que nous, nous soutenons les Palestiniens. Ha, ha, haaaaaaaaaa! Parce que nous soutenons le droit à l’autodétermination du Sahara Occidental! Parce que nous avons refusé de marcher dans la combine de l’Africom, et que nous n’avons pas accepté leur projet de base américaine au Sahel. Ha, ha, haaaaaaaaa! Parce que nos positions à l’ONU dérangent les Américains, nous qui soutenons toutes les causes justes. Mais l’Algérie n’acceptera jamais que ses ressortissants soient humiliés dans les aéroports américains et français, comme n’importe quel terroriste. Jamais!

Toutes ces professions de foi s’étalent en grand et en gras sur tous les journaux « indépendants » algériens. Et d’autres encore, comme celle-ci: L’Algérie, attachée aux valeurs de novembre, forgées par le sang des martyrs, et bla bla bla…

Si ce n’était un problème de mode, ils auraient même sorti les fameux slogans des années 70, sur l’impérialisme américain, les ennemis de l’extérieur, la position historique et jalousée de l’Algérie, et bla, bla, bla.

Les dirigeants algériens usent sans vergogne de ces pétarades juste parce qu’ils considèrent les autres algériens comme des simplets prêts à croire n’importe quoi qui flatte un tant soit peu leur égo national, et qui sont même capables de s’enflammer comme des torches, et même de manifester spontanément, si l’ordre en est donné. On a vu ça avec les matchs contre Égypte.

Une information au top…de la désinformation!

Mais ils ne se gênent pas, par ailleurs de recourir à ces prétextes cousus de fil blanc, parce qu’ils savent très bien que la véritable information ne parvient pas à la majorité de leurs « sujets ». 99% des Algériens ne savent pas qu’une base américaine a été construite au Sahara, dans le sillage de l’affaire BRC, et qu’elle a été démantelée en catastrophe parce que le régime a failli imploser. Parce que des officiers de l’Armée algérienne commençaient à gronder, et qu’une affaire de haute trahison était dans l’air. Ils ne savent pas que la Qaida du Maghreb Islamique est une invention d’une aile du DRS avec ses amis américains du Pentagone et de la CIA, qui voulaient créer une tension terroriste internationale dans le Sahel, pour justifier l’installation d’une force américaine dans la région. Non pas en Algérie, mais en plein Sahel.

Le Sahel, qui est le centre du monde géographique, au milieu d’une région pétrolifère et gazière d’envergure, et une place stratégique de choix pour contrer l’implantation de la Chine dans le continent africain utile. Les Américains, excédés par le double discours algérien, ont déclaré, officiellement, par l’entremise d’un général américain, puis par celle de leur Secrétaire d’État, qu’ils ne sont pas intéresses par l’implantation d’une base en Algérie, mais cela n’a pas empêché le régime algérien, et ses porte plume attitrés, de continuer à clamer qu’ils n’acceptera jamais de base américaine dans « son » pays.

Les Algériens sont l’un des peuples les plus manipulés de la planète. Hormis une minorité qui tente de s’informer tant bien que mal, ils ne savent pas que le DRS et d’autres structures de l’armée algérienne ont collaboré très activement avec les américains depuis les années de recrutement djihadiste pour l’Afghanistan, puis lorsque le contexte a changé, qu’ils ont « coopéré » avec les Américains dans le transfert illégal et secret de djihadistes, dans leur « exploitation », c’est à dire leur torture, dans des prisons secrètes au sud algérien, mais aussi dans le retournement de militants islamistes, pour infiltrer des mouvements djihadistes internationaux, et leur faire commettre les attentats terroristes que nécessitaient les stratégies américaines. En peu de mots, la majorité des algériens ne sait rien de la concussion du régime algérien avec les services secrets américains, et même israéliens, et avec d’autres forces souterraines qui minent le monde entier.

Les Algériens n’en savent rien, parce qu’il ne viendrait à l’idée d’aucun média, en Algérie, d’envisager de telles enquêtes. Totalement exclu!

La presse algérienne a d’autres missions. Bien plus sages.

Les dirigeants algériens craignent-ils pour l’investissement étranger ?

Mais pourquoi donc le régime algérien rue-il donc autant dans les brancards depuis qu’il a été black-listé ?

Est-ce un sursaut de dignité ? Allons donc…

Est-ce, comme il le claironne sans discontinuer, que c’est parce qu’il refuse que ses ressortissants subissent un traitement indigne, dans les aéroports américains et français ? Comme si les Algériens lambda, qui se débattent dans des conditions pitoyables pour subvenir à leurs besoins les plus élémentaires, étaient des voyageurs assidus des lignes Alger New-York. Depuis quand ce régime est-il aussi soucieux de la dignité de ses « citoyens », qu’il méprise, et qu’il manipule et qu’il broie, sans même s’en cacher.

Est-ce parce que l’Algérie craint, comme cela est affirmé avec le plus grand sérieux, que ces mesures de black-list ne découragent l’investissement international dans le pays ? Pourquoi ? Parce qu’il y a des investisseurs sérieux qui s’intéressent à l’Algérie ? Les seuls que nous connaissions pourtant, qui se sont rués dans le marché algérien, surtout depuis que ce pays a engrangé des recettes miraculeuses après la flambée des prix du baril, et qui sont généralement les associés des barons du régime, sont ceux qui viendront dans n’importe quelle circonstance, de toute façon, parce que le profit est immense, et le risque quasi nul.

A notre connaissance, même durant la décennie rouge, lorsque le terrorisme régnait en maître dans tout le pays, hormis le Sahara utile, et que les Algériens étaient assassinés par dizaines de milliers, les sociétés américaines d’exploration, d’exploitation, de transport des hydrocarbures, et d’autres qui évoluent dans les mêmes sphères, n’ont jamais été découragées de s’y installer. Bien au contraire! Puisque le Sahara était une zone d’exclusion où même les Algériens ne pouvaient accéder qu’avec un laissez-passer.

L’affaire BRC, que le Chef de l’Etat lui même a mis en liquidation, de façon précipitée, en violation de toutes les règles juridiques, juste pour étouffer un scandale où étaient impliqués des barons du régime et de grosses pointures américaines, et qui reste malgré cela une petite affaire, par rapport aux gigantesques autres dont on ne sait rien, en est l’illustration criante.

Quoi d’autres comme investissements ? La téléphonie, l’importation de véhicules, l’importation de bien d’équipements et de consommation, les grands chantiers du bâtiment et des travaux publics surévalués et réalisés à la hâte, les bureaux d’études de toute sorte, la pêche sans régulation d’aucune sorte, et toutes ces arnaques de grand rapport, dans lesquelles les clans sont systématiquement partie prenante? Non! Pour ces juteux créneaux, qui génèrent des bénéfices mirifiques, sans aucun risque, et qui finiront tous par se révéler sous leur véritable nature lorsque les jeux seront finis, resteront toujours attractifs pour tous les grands prédateurs, quel que soit la black-list. Que les barons du régime trouvent autre chose pour justifier leur indignation feinte. Cet investissement là n’est pas menacé. Peut être même va-t-il être stimulé. Parce que les situations troubles sont le meilleur garant de son implantation, et de ses pratiques.

Par contre, l’investissement réellement productif, et qui est indispensable à ce pays, pour le sortir de l’ornière où il végète depuis des décennies, celui qui crée des richesses, qui contribue à l’autosuffisance relative des populations, qui se déploie dans la recherche, l’agriculture, dans l’agroalimentaire, dans l’hydraulique, dans la production de biens de consommation, dans le tourisme, et d’une manière générale, dans tous les services, celui-là n’aura pas lieu en Algérie, black-list ou pas! Parce que ce genre d’investissement a besoin de garanties objectives, de stabilité politique, de climat social apaisé, de gestion rigoureuse des affaires, d’une administration efficace, d’une justice indépendante. Il a besoin, en somme, d’évoluer dans la normalité, dans une société où les règles sont pérennes, mêmes si elles ne sont pas foncièrement démocratiques. Et c’est là tout le contraire de l’Algérie, où une association de malfaiteurs a pris possession de tout le pays, qu’elle gère comme on rackette, où les différentes bandes se livrent à des guerres incessantes par civils et complots interposés, où l’on n’hésite pas, du jour au lendemain, à changer une disposition fondamentale de la Constitution du pays, juste pour faire rempiler le président de la « république » à un troisième mandat, où des chefs de clans disposent de la principale Société du pays, la Sonatrach, comme d’une cassette personnelle, où des partenaires, ou plutôt des associés, sont redressés fiscalement juste parce que le partage du butin n’a pas agrée la famiglia, et où rien n’est prévisible. Rien ! Pas même la météo!

Tiens, tiens….

En fait, cette black-list a choqué le régime pour une seule et bonne raison!

La black-list, dans un pays comme les USA, qui reste quoiqu’on en dise un État soumis à des règles juridiques, contient des dispositions collatérales tout à fait inopportunes pour des régimes comme celui de l’Algérie.

La black-list n’est pas seulement un arsenal de fouille au corps, de mesures de sécurité diverses, de fichage et autres contraintes. Ces mesures là ne dérangent en rien les dirigeants algériens, même s’il leur faut sacrifier, comme le MAE, à des fouilles au corps. Ce qui les inquiète est autrement plus sérieux. Ce sont les procédures et les précautions qui sont prises, en matière de transfert de capitaux en provenance des pays black-listés, et de détention, aux USA, de capitaux en provenance de ces pays.

Les procédures, et les contrôles, sont très pointilleux en la matière, et doivent être, impérativement consignés dans des rapports qui seront, tôt ou tard, déclassifiés, c’est à dire accessibles à n’importe qui. Voilà ce qui fait courir nos lièvres! Voilà où le bât blesse ! A fortiori qu’avec l’équipe Obama, les barons du régime algériens, y compris ceux qui ont croqué au râtelier des Néocons, sont totalement désorientés. Ils ne sont plus à l’abri de mauvaises surprises. Et l’épisode du contrôle physique de leur ministre des affaires étrangères n’est pas pour les rassurer. Ils craignent que le monde entier découvre un jour l’étendue de leurs fortunes, et les méthodes qu’ils ont utilisé pour se les procurer. Comme de déclencher une guerre civile, de planifier et de mettre en œuvre des carnages de populations civiles, entre autres ficelles.

Donc, comme ils savent que cette black-list risque de lever le couvercle sur leurs pratiques, ils décident de tenter le tout pour le tout. Il faut absolument qu’ils soient sortis de ce guêpier. Ils viennent d’annoncer une curieuse mesure. Ils avertissent les USA et la France que s’ils ne sont pas rayés de la black-list, ils vont recourir à leur arme fatale: La réciprocité! En clair, les Français et les Américains qui se rendent en Algérie subiront les mêmes fouilles au corps que le Ministre algérien des Affaires étrangères. Sans plus! Puisqu’ils n’ont pas la possibilité d’autres initiatives.

Cette annonce pourrait prêter à rire. Mais il n’en est rien. En fait, elle procède d’un appel d’air à un lobbying en leur faveur. Parce que toutes les grosses boîtes américaines et autres multinationales qui sont confortablement installées au Sahara algérien vont pouvoir jouer sur du velours, pour tenter de convaincre leurs gouvernements que cela serait contre productif pour leurs intérêts. CQFD !

D.Benchenouf

 
mercredi 3 février 2010
 
Allons-nous vers un nouvel 11 septembre ? (1ère partie)



Quelle que soit l’opinion que l’on se fait sur les attentats du 11 septembre 2001 (version officielle ou attentat organisé par la CIA ou le Mossad israélien), des faits incontestables découlent de ce fameux 11 septembre.

La seule grande puissance dominante après la désintégration de l’Union Soviétique (USA) s’est donnée à elle-même un chèque en blanc, un quitus moral et politique lui permettant d’intervenir partout, quand elle le souhaite et par tous les moyens, au nom de la lutte contre le terrorisme.

Ce concept « le terrorisme » dit international est assez flou pour pouvoir être appliqué à n’importe qui.

Il a été défini au départ par l’axe américano-sioniste pour désigner à l’époque « l’islamisme » par opposition à l’Islam « modéré », c’est-à-dire, l’Islam des pays déjà sous la coupe américano-sioniste (pays du Golf, Égypte, Maghreb, Pakistan, etc..). Ces pays ont eu pour fonction de servir de bases et d’alliés aux États-Unis et de jouer également le rôle des «bons musulmans de service ».

Cet appel à la croisade contre le terrorisme a été adressé également aux anciens ennemis des USA (Russie et Chine) afin de les embrigader sous la bannière américano-sioniste.

Le premier objectif nommément désigné a été l’Afghanistan, refuge des Talibans et de l’insaisissable Ben Laden. L’invasion et l’occupation de ce pays ont donc été décidées et menées à terme avec la complicité du gouvernement pakistanais, entraînant ce pays à son tour dans une guerre tantôt ouverte tantôt larvée.

A cet ennemi fantomatique et insaisissable qu’est Al Qaida, les États-Unis et Israël en ont ajouté un autre l’Irak, un État souverain, un État sous embargo, totalement affaibli depuis la guerre du Golf. L’agression contre l’Irak a voulu être présentée comme une croisade du bien contre le mal afin d’obtenir la caution des Nations Unies (cette « respectabilité » que les puissants appellent le « droit international »). Cette fois-ci le montage mis en place par tout l’appareil propagandiste américano-sioniste s’est heurté à l’incrédulité d’une partie importante de l’opinion (les fameuses armes de destructions massives de Saddam Hussein n’arrivaient pas à convaincre) et surtout au refus de la Russie, de la Chine et de la France : membres du Conseil de Sécurité avec droit de veto.

La Russie et la Chine ne pouvant pas ou ne souhaitant pas apparaître au premier plan, ce fut à la France de Jacques Chirac et de De Villepin, dans la meilleure tradition gaulliste, que revint la mission d’« accrocher » le veto. Les États-Unis et leurs alliés ont été ainsi obligés d’agresser l’Irak sans la caution de l’ONU (ce « machin » comme disait le Général De Gaulle).

Allons-nous vers un nouvel 11 septembre ? Allons-nous vers un nouvel 11 septembre ?


On peut considérer que depuis ce jour, les Nations Unies sont mortes même si leur siège à New-York continue à faire la fortune des grands restaurateurs locaux et autres lieux de divertissement destinés aux diplomates.

Cette agression/occupation de l’Irak a répondu à plusieurs objectifs dont le premier et sans doute le plus important est d’avoir donné satisfaction à Israël et à son lobby nord-américain. Il s’agissait de briser un État arabo-musulman disposant à la fois d’eau (agriculture) et de pétrole, et de le morceler en trois entités ethniques et religieuses (Kurdes, sunnites et chiites). On a également liquidé ses élites soit par la corruption soit par l’assassinat (plus de 70 physiciens, chimistes et techniciens de haut rang dans le domaine nucléaire disparus ou assassinés).

Enfin et surtout cette occupation renforce l’encerclement de la République Islamique d’Iran, principale ennemie d’Israël et de son lobby.

A Gaza en décembre 2008, il s’est agi pour l’entité sioniste de mettre à l’épreuve M. Obama, élu en novembre avec en grande partie, les fonds du lobby sioniste mais également de vérifier par la pratique le nouvel axe régional Israël - pays arabes dits modérés, c’est-à-dire complices : Égypte, Jordanie et certains pays du Golfe. Le silence d’Obama, de Moubarak, sans parler de celui de Mahmoud Abbas, Président de l’autorité palestinienne ont bien montré la complicité unissant les USA, Israël et les gouvernements arabes assujettis au sionisme. Le silence tout aussi complice de l’Union Européenne a confirmé, si besoin en était, son alignement total sur la politique israélienne, alignement renforcé par le retour de la France dans l’OTAN, décidé par M. Sarkozy.

L’échec relatif de l’armée israélienne sur le terrain et l’indignation croissante d’une partie de l’opinion n’ont fait que suspendre provisoirement la question de Gaza. Depuis, le territoire de Gaza est soumis à un total embargo avec la complicité de l’Égypte, des États-Unis, de M. Obama et de l’Union Européenne. Pendant ce temps, la colonisation sioniste de la Cisjordanie et de Jérusalem Est se poursuit, quoi que puisse dire M. Obama pour tenter de tromper l’opinion publique, notamment arabe. La Palestine demeure le pivot de ce conflit opposant la volonté de domination sioniste au reste du monde.

Pour que tombent les dernières illusions sur la politique de « paix » de M. Obama, ce dernier a décidé l’envoi de 30 000 hommes supplémentaires en Afghanistan alors que toute solution militaire du problème est exclue et que la guerre contre les USA et ses alliés s’étend au Pakistan. Pendant que l’empire USraël s’enlise en s’élargissant (suite notamment au mystérieux attentat manqué du « terroriste aux sous-vêtements » et à une possible intervention américaine au Yémen), la situation économique globale ne s’améliore pas pendant que la Chine, la Russie et surtout le front de la résistance (Iran, Hezbollah, Hamas) continuent de se renforcer...

Nous reviendrons prochainement dévoiler ce qui n’a encore jamais été dit sur le 11 septembre...

Le Président,

Yahia Gouasmi

Communiqué du Parti Antisioniste
 
"Si vous n’y prenez pas garde, les journaux finiront par vous faire haïr les opprimés et adorer les oppresseurs." Malcom X

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