Preuve à l'Appui
: le Génocide
irakien
Julian Assange dénonce des crimes commis par les USA en effet ces derniers violent le droit internationale.
USA=ASSASSINS ?
Julian Assange, qui a assuré samedi 23 octobre à Londres vouloir montrer "la vérité" de la guerre en Irak, braque les projecteurs de l'actualité sur les scandales cachés de la planète avec son site WikiLeaks, mais cultive ses zones d'ombre avec un art consommé du secret. Fondateur et figure emblématique du site spécialisé dans les fuites de documents confidentiels, cet Australien de 39 ans au parcours trouble accumule les révélations de l'Irak au Kenya en passant par l'Islande et la guerre en Afghanistan. En diffusant 400.000 documents confidentiels qui révèlent les nombreux cas de torture commis sur les Irakiens et couverts par l'armée américaine, WikiLeaks cherche "la vérité", selon Julian Assange. "Nous voulons trois choses: libérer la presse, révéler les abus et sauvegarder les documents qui font l'Histoire", avait expliqué en août le numéro un de WikiLeaks à l'AFP à Stockholm. En publiant 77.000 documents militaires confidentiels sur l'Afghanistan fin juillet, il avait déjà suscité une tempête médiatique et déclenché une salve de critiques du Pentagone qui l'accuse d'irresponsabilité et de mettre en danger militaires et civils. "Nous n'avons pas pour but que des gens innocents soient blessés", s'est défendu Julian Assange fin septembre à Londres. "Nous avons précisément l'objectif opposé", a-t-il assuré. Il est devenu celui qui fait trembler la CIA, le chasseur d'abus, l'apôtre de la transparence... mais est resté un homme énigmatique qui refuse - précaution parmi tant d'autres - de donner la date exacte de sa naissance. "Nous faisons face à des organisations qui n'obéissent pas aux règles. Nous sommes face à des agences de renseignement", a-t-il dit à Stockholm. Quelques jours après cet entretien, Julian Assange a été accusé dans une affaire de viol en Suède, qu'il a démenti catégoriquement et qualifié de "coup monté". Mais le porte-parole de WikiLeaks s'est montré encore plus discret depuis. Né en 1971 - il refuse d'être plus précis - sur Magnetic Island, dans le nord-est de l'Australie, Julian Assange passe une enfance nomade qui lui vaut de fréquenter 37 écoles, comme il l'a raconté à des médias australiens. Adolescent à Melbourne, il se découvre un talent de pirate informatique. Mais la police lui met la main dessus et il s'en tire, en plaidant coupable, avec une amende et un serment de bonne conduite. Ensuite, "j'ai été conseillé en sécurité, j'ai fondé une des premières compagnies de services informatiques en Australie, j'ai été consultant en technologie, chercheur en journalisme, j'ai coécrit un livre". Il fonde WikiLeaks en 2006, avec "une dizaine de personnes venant du milieu des droits de l'homme, des médias et de la haute technologie". Grand, mince, poli, le sourire volontiers ironique, il pèse chaque mot, marque un temps de silence avant de répondre, aboutissant à un discours limpide mais très maîtrisé. Insaisissable, refusant de dire d'où il vient et où il va, il saute de capitale en capitale, logeant chez des partisans ou des amis d'amis. Il a coupé cet été ses longs cheveux blonds argentés qui lui valaient parfois d'être comparé à un ange. Difficile à contacter- il utilise plusieurs téléphones et change souvent de numéros -, il n'a pas fait d'apparition publique depuis l'affaire suédoise en dehors d'une conférence à Londres le 30 septembre et une le 23 octobre. L'Islande et la Suède, où il bénéficie de soutiens et de législations favorables, sont des escales privilégiées dans son voyage permanent autour du globe, de Londres à Nairobi, des Pays-Bas à la Californie. Mais la Suède lui a refusé cette semaine un permis de résidence. A Reykjavik début mars, il avait raconté à l'AFP avoir longtemps vécu au Kenya. Il travaillait alors en Islande au "projet B". Enfermé des semaines dans une maison aux rideaux en permanence tirés, il y met au point, avec quelques partisans de WikiLeaks, leur premier grand scoop: la vidéo prise par la caméra d'un hélicoptère militaire d'une bavure de l'armée américaine à Bagdad en 2007. Erudit, il milite pour un nouveau journalisme. "On nous demande souvent: est-ce que vous vérifiez vos sources? Mais nous, nous vérifions des documents. Nous appelons, nous demandons: ces documents sont-ils les vôtres ? Oui, non, peut-être? Et je pense que c'est une exigence bien supérieure", dit-il. 2010 AFP. Site de Julian Assange : http://wikileaks.org/ … Il faut transmettre le Savoir et la Vérité…
… La Vérité finit toujours par se Savoir…DJAMELITOhttp://djamelitoinfo.blogspot.com
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